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« Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c'est nous qui l'avons tué ! ? Ne sommes-nous pas forcés de devenir nous-mêmes des dieux simplement — ne fût-ce que pour paraître dignes d'eux ? »

Ainsi parla Nietzsche.

Ainsi sont les vampires.

Etenel, parmit les immortels, même les fées n'ont si comment s'affranchir de la mort. Sur le trône de Saint Pierre se trouve désormait l'une des plus ancienne vampire encore en vie. Marie Madeleine épouse du Christ. Les vampire ont revendiqué l'église du Vatican après des siècles de génocide. Ne sont-ils pas les seuls à pouvoir faire le don de l'immortalité ?

Pour l'instant sa sentait plus tôt la mort, rien de plus normal dans les catagombe d'une église. Les vampire avait modernisé les lieux, virés les gisent des saints, creuser la roche, pour y installer des cellules. Dalia, leur reines vampire, leur Strigoïs y dormait en journée. Elle avait besoin de se réfugier sous terre quand le soleil montrait le bout de son nez. Les nouveau née, des humain mordue, mort ressucité en vampire, les future moroïs avaient aussi besoin de passé un certain temps dans la plus proffond des obscurité, avant d'être capable de revoir la lune.

Mais ce n'était pas au près d'un jeune vampire que se tenait Dalia. Mais au près de la dépouille de Damien. Dalia fixait le garou mort. Elle se sentait embêter. Elle avait des difficulter à se rappeller l'émotion qu'elle aurait du ressentir en de telle sirconstance, pour une créature insignifiante et veinéneuse. Le sang des loup était du poison pour les vampire. Elle s'était éloigné de l'humanité de puis trop longtemps pour ressentire un sentiment pour une telle créature et physquement elle n'avait plus rien avait avec eut depuis fort lontemps. Le lien avec la chauve-souris était parfaitement clair. Elle était bien plus grande dépassant les mètres quatre-vingt. De grandes ailes membraneuses se déployèrent dans son dos avoisinant les trois mètres d'envergure. Son corps puissant et animal était couvert d'un épais pelage fauve, ses membres longs et faméliques se terminaient en de terribles griffes. Son visage si on pouvait encore l'appeler ainsi était une immonde gueule cynocéphale bardée de longs crocs. Ses oreilles étaient aussi larges et longues que celle du chiroptère, s'étendaient sur chaque côté de son crâne. Mais le plus affreux sur cette monstrueuse face était les quatre paires d'yeux ronds et noirs qui vous fixaient sans cesse.

— Je t'avais demander de le ramener vivant.

Dalia ne se retrouna même pas sur son fils, immobile au fond de la pièce.

— J'ai fait ce que j'ai pu, se défendit Enoch.

La reine vampir poussa un long sompire. Son plan tombait à l'eau. Elle venait de perdre le moyen de contrôler Ysaline. Le loup vivant aurait été une belle monais d'échange ou un bon moyen de pression. Elle devai protéger ses enfants, sa ligné. Une nécromancienne aussi puissante pourrait controler les vampires et bousculer l'ordre des forces. Pour l'instant les seigneurs vampire l'ignorait et s'était très bien ainsi. Mais s'il l'apprennait, Dalia ne voulait même pas imganié ce qui pourrait arrivé à Ysaline n'y même le champ de bataille de devriendrait Mirabilis.

Dalia se détourna de la dépouille du loup, pour observé celle de Gregor. Le louvetier avait commencer à faisander. La Strigoï le trouvait bien plus sympathique mort que vivant. Les problèmes continué à s'accumuler et la pile ne faisait que croitre. Le louvetier était mort en féérie. Les relation diplomatique avec les fées n'étaient pas bonne, ce n'était pas le moment de rajouté de l'huiles sur le feu. Les humains et les fée n'avaient jamais été très copains, mais avait toujours trouver des terrains diplomatique. Pourtant ses dernière décenie les tension n'avait jamais été aussi houleuse. Les groupe pros-humains ne faisait que croitre et de ses mouvement au niveau des gouvernement ne faisait qu'acroitre les tensions. Les fée comprennait mal ses courants politique et ses maneauvre. Elles vivait plusieur siècle et la télépathie était la première façon de communiqué. Il n'y avait pratiquement aucune tension au saint de leur communauté. Elles fonctionnaient en eissen privilégiant le groupe au profil de l'individue et l'équilibre du monde au profis de l'espèce, un fonctionnement à l'oposé même de l'humanité.

Mais la mort du louvetier entrainné encore plus de conflit qu'il n'en réglé. Il avait été tuer par un loup, un loup affranchit de la lune. Les autorité humains ne laisseraient jamais cela passé. Pire encore, les louvetier allait réclamer vengeance. Les loups de Mirabilis ne serait plus en sécurité. Il fallait dissimuler cette mort, sans la caché. Tromper tout le monde, pour que la mort de Gregor ne devienne pas un mystère à résoudre qu'elle soit simple et acceptable. Mais comment faire passé une décpatitation pour un scuicide ? Il fallait trouver un bon dénoument à cette histoire.

Dalia se retourna sur Enoch qui attendait toujour immobile.

— Mon chérie, sourit Dalia. Il va falloir que tu trouve quelqu'un pour moi. Prévient des frères et soeur, nous avons du travail.

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BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'AmarokOù les histoires vivent. Découvrez maintenant