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   Lia.

Los Angeles, 9h37.



Les vacances sont bientôt finis, ce qui veut dire retour au études et cette année je vais vraiment essayer de me concentrer pas comme au lycée où je n'ai jamais été présente.

À cause de mes pseudos parents qui déménagent tout les ans comme si y'avait qu'eux qui importait.
J'ai toujours dû quitter mes amis à cause de leurs déménagement répétitif.

Je m'attachais plus à personne, à part une seule Mia.

Elle a toujours été là pour moi pendant un certain temps.

Juste avant que je re déménage,
On a eu un accident de voiture, un véhicule nous a foncé dedans, j'étais au volant et Mia à la place passagère à côté de moi, on se rendait à une fête, la fête de fin d'année.

Elle est décédée sur le coup.

Et l'autre trou du cul s'est cassé avec sa bagnole déglinguée.

Personne la retrouvé !

Moi je m'en suis sortie avec une jambe cassée, une commotion cérébrale et quelques égratignures.

Tout ça c'est de ma faute je n'aurais jamais dû la forcer à y aller, elle voulait pas, elle avait un mauvais pressentiment.

Tout les ans je lui rend visite à la même date le 27 juin.

On voulait rentrer à l'université à deux mais vue les circonstances j'irai toute seule...

Elle est morte il y maintenant 2 ans, j'avais 18 ans.

J'ai attendu quelques temps avant d'aller a l'université je voulais d'abord prendre du temps pour moi, je sais pas pourquoi mais j'en avais besoin, je travaillais dans un petit café près d'une boîte de nuit.

Cette année je commence l'université, je vais faire des études de médecine à Los Angeles, j'ai toujours été passionnée par ça, vous allez me trouver bizarre mais la vue du sang ne me dégoûte pas plus que ça.

Demain je commence les cours, donc je me rends a l'université pour prendre une chambre et pour plus que je vive avec les deux malades qui me servent de parents adoptifs.

Je suis sur le parking et manque de me faire renverser par un abruti en moto.

Mais ça va pas ? Crié-je.

Il descend de sa moto qui on peut le dire est splendide .

- T'as qu'à pas te mettre en plein milieu de la route ! Crache-t-il.

- J'étais sur le passage piéton bouffon, Dis-je énervée.

Il s'approche dangereusement de moi et me prend par le coup pour me coller au mur violemment.

-C'est ton problème et ne m'appelle plus jamais comme ça, dit-il , alors qu'il a vraiment une tête de bouffon.

-Si je souhaite t'appeler comme ça je le fais, dis-je en me détachent de sa prise en balançant mon genou dans ses bijoux de famille.

Il se recroqueville en deux et moi sans perdre plus de temps entre dans l'université et vais en direction de l'accueil.

Personne dans la rue m'a aidé comme si ils avaient peur de lui.

Faible.

Ils me donnent le numéro de ma chambre et je pars vers l'ascenseur.

- Numéro 206 mhh trouvé, dis-je à voix basse.

Je rentre et découvre deux lit, il y a le miens et celui sûrement de ma colocataire, qui est déjà fait, avec des vêtements partout.
Je dépose ma valise et juste après entend la porte s'ouvrir sur une très belle femme brune au yeux bleu de mon âge à peu près.

-Salut, Crie-t-elle, avec un enthousiasme que je n'ai jamais vue de ma vie.

-Salut, lui repondé-je, calmement.

- C'est toi ma colocataire? Bah oui logique, dit-elle.

- Oui oui, dis-je, en rigolant.

Elle s'assoit sur son lit et je fais de même.

- Comment tu t'appelles ? Me demande-elle, calmement.

- Lia, répondé-je. Et toi ?

- Thalia, dit-elle, tu veux que je te fasse visiter l'université ?

- Oui, je veux bien mais je vais me doucher pour le moment, dis-je, complètement épuisée.

- Oui pas de soucis, je t'attends ici, les douches sont dans le couloir au fond, souffle-t-elle, avant de se coucher dans son lit et prendre son téléphone.

Je sors du gel douche et une serviette  de ma valise et pars en direction des douches comme me l'a dit Thalia.
Je rentre dans une cabine et commence à me laver, j'adore la sensation de l'eau qui me brûle la peau.

J'éteins l'eau et prend ma serviette,
je me rend compte que je n'ai pas pris mes vêtements.

- Et merde, comment peut-on être à ce point conne, Crié-je, énervée.

Je sors de la douche et vais dans le couloir, heureusement il n'y avait personne. Je me dépêche et en passant devant les escaliers je bouscule un mur, plutôt un mec.

- Pardon, dis-je, gênée.

- Ouais c'est ça excuse-toi, crache-t-il.

EH.

Je lève les yeux vers lui et me rend compte que c'est le bouffon de tout à l'heure.

-Connard, dis-je, quand il s'apprêtait à partir.

- Pardon ? Crie-t-il, les yeux écarquillés.
Il s'approche doucement de moi jusqu'à coller nos deux corps ensemble.

- Redis ça pour voir, dit-il.

Je balbutiais face à ses yeux baladeurs sur mon corps enroulé dans une simple serviette.

- C'est bien ce que je me disais, dit-il en s'éloignant de moi toujours son regard posé sur mes cuisses nues.


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N'hésitez pas à me donner des conseilles pour l'orthographe ou la syntaxe dans les chapitres merci 💞

Black bloodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant