Ce ne sont que quelques mots face à l'immensité de ses pensées.
C'est ici
au fin fond de son vivant,
qu'elle puise au plus profond de son esprit,
des lettres, incompréhensibles, incomprises
haine
tristesse
amour.
Elles ressortent, ils s'échappent
comme ses larmes qui n'arrêtent pas de couler
elle les attrapes et les écrasent , fige tout sur le papier.
Il faut qu'elle extériorise tout cela, qu'elle m'exprime, qu'elle sache le décrire, se décrire.
Mais elle ne sais pas
elle ne sait plus
elle est perdue.