Meurtre en Amour (vers.2) en cours de Correction.

Chapitre 3

Premier Rapprochement.

Il la regarde et vis qu'elle ne lui donna pas de réponse et décide de se rapprocher d'elle comme pour lui montrer qu'il est là pour elle. Il s'assoit à côté d'elle en tailleurs lui laissent un peu de temps pour lui répondre.

Elle leva sa tête le regardent.

-Qu'est-ce que tu me veux l'idiot. - Dit-elle d'un ton sec.

Eric tourna la tête et vis des traces de larmes sur son visage, ses yeux qui sont devenue rouges ainsi que ses joues rosies par la chaleur des radiateurs encore allumée malgré le fait qu'ils sont au printemps.

Il avala sa salive et posa sa question.

-Qu'est ce qui c'est passer ? On ne t'a pas vue à la cafétaria tout va bien ? – Demande-t-il.

Elle resta silencieuse pendant quelques minutes et prend la parole.

-Je suis aller manger dans une salle ou je pourrais être tranquille... alors je suis rentrée dans celle de sculpture et c'est là que... que j'ai vu le prof rentrer alors je me suis levée pour partir et j'ai senti sa main se glisser sous ma jupe quand je suis arrivée à sa hauteur alors je l'ai giflé et je suis partir en l'insultent de pervers. - Raconta-t-elle.

Il la voyait mal de faire du mal à quelqu'un, il prit doucement Clarrence dans ses bras la rassurant que tout est finit et qu'il sera là pour elle. Entre temps il pouvait avoir accès au dossier de M. Roussol et il s'avère qu'il avait menti sur sa personnalité en réalité ce professeur de sculpture était un prédateur sexuel sadomasochiste.

« Comment peut-on accepter ce genre d'homme avec cette personnalité-là dans une université » dit-il dans sa tête. Ils entendirent dans les haut-parleurs l'annonce que leurs cours seront annulées pour le reste de la journée ainsi que le reste de la semaine, Eric et Clarrence se relèvent et sortent des toilettes ensembles main dans la main allant rejoindre leurs amis.

Alie les vis arriver ensemble les mains enlacées elle ne peut s'empêcher de faire un petit sourire dans un coin de sa bouche, le reste de la journée Eric voyait le visage de Clarrence en boucle dans sa tête il ne pouvait s'empêcher de dire que cet homme qui était son prof de sculpture avait surement enlever l'innocence à des milliers de jeunes filles depuis qu'il avait enseigné ici. Il se dit au plus profond de sa tête que ce qu'a eu M. Roussol il avait mérité, il resta auprès de Clarrence de peur qu'elle s'éloigne de lui.

Quand vient la soirée, les élèves avait regagner leurs dortoirs, et Eric se décide d'aller à l'internat voir Clarrence et trouve sa porte avant de toquer deux fois. Il vit la porte s'ouvrir montrent une Clarrence fatiguée n'ayant qu'une seule envie c'était de dormir.

-Salut, je voulais te voir pour voir si tu avais besoin de quelque chose ou avoir un peu de compagnie ? – Demanda-t-il.

Clarrence le regarde dans les yeux sans rien dire.

Ni l'un ni l'autre n'osa dire quelque chose pendant quelques minutes puis Eric brisa le silence en tendent un bout de papier vers elle.

-Tient, c'est mon numéro de téléphone vu que je ne suis pas interne si tu as besoin de parler appelle-moi si tu veux ? – Dit-il.

Elle hoche la tête prenant le papier et lui laisse de l'espace l'invitent à rentrer, ce qu'il fit avec joie.

En rentrent dans son dortoir le jeune homme vis un dortoir simple et chaleureux, pas de posters de groupe ou musique préférer, à la place se fut des guirlandes lumineuses en forme de petites boules accrocher au-dessus de la tête du lit. Il regarda au-dessus du bureau de Clarrence et vis des photos de sa mère, mais il ne la vit pas sur aucune des photos juste sa mère et une autre personne dont le visage est brulé.