67. Suspens

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Les larmes de ceux qu'on aime sont toujours vraies
Qu'importe combien tu ignores les miennes,
Je t'attendrai
Tu parles d'une fin inévitable, souvent
Tu ne veux plus me voir.
Ma porte reste ouverte, comme avant.
Qui pourrais-je encore aimer après toi ?C'est seulement ton choix, toi seul y crois
Mais moi, moi qui n'avait comme guide que ta voix
Tu me laisse seule porter toutes ces croix
Comment pourrai-je encore suivre quelqu'un ?
Tu ne comprendras jamais mon chagrin
Peut-être ai-je tort de vouloir entendre le tien.

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