Hold On To Me (Accroche-toi à moi)

Chapitre 52

”Tu pense allez où ?" Antonio crie, "Ne pars pas. Reste ici"

"J'ai besoin de temps" murmure Sienna, jetant des vêtements. "J'ai besoin de temps loin de toi, j'ai besoin d'espace entre nous. S'il te plaît, respecte ça"

« Respecter cela ? » Il rugit, la colère l'aveugle.

Il sait qu'il regrettera d'avoir agi ainsi une fois calmé. Mais elle s'en va, encore une fois, et il n'est pas sûr que cette fois ils y survivent.

« Tu me quittes encore, pour quelque chose que tu as prétendu m'avoir déjà pardonné. Putain, comment puis-je respecter ça ?” dit-il

"Arrête de me crier dessus" dit-elle sèchement, "Laisse-moi juste partir."

Le visage d'Antonio devient rouge alors qu'une veine sort de son cou.

"Si tu part maintenant, ne t’embête pas à revenir." Dit-il

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Il y a deux heures, Antonio s'est accroché à son cou comme une tique pendant qu'elle prépare le petit déjeuner. Ils ont pris la journée pour retrouver leur amour et leur passion.

Après quelques heures bien heureux au lit, le couple est passé à la douche et ils préparent le petit-déjeuner. Enfin, Sienna essaie de préparer le petit-déjeuner.

"Allez bébé, on pourra manger plus tard" lui chuchote-t-il à l'oreille.

"J'ai faim Dawson." Dit-elle

"Tu as toujours faim" marmonna-t-il en l’as regardant avec de grands yeux bruns innocents la pomme qu'elle lui lançait rebondit sur l'île.

"Une pomme ? C'est ton arme de prédilection" dit-il  en souriant

Sienna sourit en s'approchant de lui,

"Je sais comment faire en sorte que ta mort ressemble à un accident Dawson. Continue comme ça, et tu le regretteras" dit-elle

Antonio déglutit mais se mit à rire quand il vit le scintillement dans ses yeux.

"Je t’aime" dit-il

"Je t'aime aussi. Ne dit plus jamais que je suis grosse" dit-elle

"Je ne t'ai jamais traité de grosse !" Dit-il

"Tu as dit que j'avais toujours faim, ce qui veut dire que tu penses que je suis grosse." Dit-elle en souriant

"C'est des conneries. Tu es sexy comme l'enfer." Dit-il en ce moquant

Il s'approche d'elle et l'embrasse sur la joue.

"Éteint la poêle -" dit-il

"Je ne le ferai pas. J'ai faim et je suis fatigué. Laisse-moi préparer le petit-déjeuner" dit-elle

Antonio sourit alors que ses mains se promènent sur les fesses de sa femme. Il y reste jusqu'à ce qu'elle le gifle avec une cuillère en bois utilisée pour mélanger la pâte à crêpes.

"Bien" Il répond en boudant, "Je vais m'asseoir ici comme le bon garçon que je suis."

Il s'assoit sur le comptoir de la cuisine en boudant légèrement quand elle ne répond pas.

« Tu ne m'aimes pas » marmonne-t-il, faisant la moue et battant des yeux.

"Je t'aime beaucoup, beaucoup mon beau mari" dit-elle en souriant