Je l'observe assise ici, face à ce nouveau chemin.
Depuis peu, l'écume de la mer me pille de tout souvenirs.
Au loin, je l'es vois s'en aller comme pour un voyage funeste d'un pauvre défunt.
Comme ci il n'y avait plus aucune possibilité d'un nouvel avenir.Je terre au fond de moi ce sentiment qui me consume.
Pourtant, autre fois, je voyais les choses différemment.
Et voilà, que depuis peu tout ce que j'avais bâtis s'envole plume par plume.
Dire que ça ne me cause aucune douleur serais ce qu'on appelle mentir... alors je mens.D'une dernière rose, déposer sur les rochers bossus le souffle court.
J'essaie de m'imaginer ce qui désormais résonne en moi comme une évidence.
Il est presque certains, que l'heure des adieux a sonner le cœur lourd.
Pour en finir, je n'en demanderais guère plus qu'un soupçon de clémence.
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ÉPINES DE FER
PoetryHello ! Ce que vous vous apprêtez à lire, n'est rien d'autre que des textes écris par mes soins. Ils traitent sur divers sujets, ne respectent pas les codes de rédaction. Écrire m'a permis d'économiser des séances de psychologue, et de finir dans...