Je te revois encore droit devant moi, les yeux rougies de la nuit.
Le temps s'est écoulé creusant ce si large faussée entre nous.
Ces souvenirs brûlant comme la braise, se disperse en milliers de cris.
Soudain c'est comme-ci tout ce que nous avions vécu devenait flou.Le souffle court, le cœur brisé, j'observe ton corps s'éloigner.
Mes joues s'embrasse de larmes, au goût bien trop acide.
Le chant des oiseaux à cessé, les étoiles ne brillent plus, mon cœur est comme poignarder.
Ce sentiment si familier me reviens, il s'empare de moi, il me rend vide.Tout semblait être sans importance à tes côtés, comme ci rien n'importer.
Depuis que tu n'es plus là, mes pleures m'étouffent.
Il m'arrive de sentir encore ta présence avant de me souvenir, que tu as tout broyé.
Épuisée de faire semblant de vivre, comme ci je n'allais pas tomber dans ce gouffre.
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ÉPINES DE FER
PoetryHello ! Ce que vous vous apprêtez à lire, n'est rien d'autre que des textes écris par mes soins. Ils traitent sur divers sujets, ne respectent pas les codes de rédaction. Écrire m'a permis d'économiser des séances de psychologue, et de finir dans...