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Pvd Vitannie:

- Non Vitannie pas de cette façon.
- Oui mama Coco. Je sais.
Tante Cristallina entra dans la cuisine, aussi souriante que jamais, mais qua d elle me regarda tous sourire disparu de son visage.
- Mais qu'est ce que tu fais la toi? Je sais que tu adores la cuisine mais ton travail est avec un balai pas avec un couteau. Tu as étendue le linge?
- Oui
- Nettoyé le hall?
-Oui
- Le jardin
- Oui
- La salle à manger?
- Euh.... Non.
- Monsieur Henry va te tuer.
- Oh non, il faut vraiment que je..
Je fus couper par la porte qui s'ouvrit sur Anabelle.
- Vitannie. Le maitre veut te voir.
Je regarda tante Cristallina et Mama Coco d'un regard désespéré, car un appel du maitre après un travail non fait ne signifie pour moi qu'une chose:''L'étouffoir ''
Rien que d'y penser, j'ai les mains qui tremblent, les pieds qui ne tiennent plus.
Je déteste les espaces confinée.
Je suivis alors Anabelle, me dirigeant alors le plus vite possible dans le petit salon. Endroit où se reposait mon fléau.
J'entrais alors dans la pièce après avoir eu la permission.
Mieux vaut ne pas augmenter la colère de ce ''Laird à bonnet''.
Après avoir fait une révérence, Anabelle sortit de la pièce me laissant seule avec le diable en personne.
Un homme de la cinquantaine avec un cœur aussi dur que le... Non se serait cruel de donné un cœur à ce genre de personne. Il n'a aucune pitié, surtout avec ceux qu'il déteste et qui ne respecte pas ces règles.
Moi je fais partir de ces deux catégories.
- Pauvre fille.
Je fis un gros effort pour ne pas lever les yeux au ciel.
- Quand je suis partit regarder le jardin, c'était fait, même si il y avait des erreurs. Le hall et les linges aussi, je dois dit que..
- ABREGEZ BON SANG!!
- Ma salle à manger. Ma précieuse salle à manger...
- Toute salle est précieuse a vos yeux quand ils ne sont pas nettoyé comme à votre guise. La seule chose qui vous intéressé ce n'est pas que le sol soit brillant, qu'il n'ai plus d'araignées au plafond, mais le fait de trouver une raison pour l'importuner. Alors non. Je n'ai pas nettoyer votre précieuse salle à manger car je n'avais pas le temps. Le temps me manquait, je n'avais même pas une demi-journée pour tous faire, car j'essaie toujours de faire à votre guise. Alors non, je ne regrette pas de ne pas l'avoir fait.
Il se leva de sa chaise en cuir pour se placer devant moi, me fixant de ces grand yeux bleu. Je soutient malgré la peur son regard, juste avant de recevoir une gifle qui me fit baisser les yeux.
Il m'empoigna ensuite par le bras pour me tirer derrière le jardin, dans un endroit peu fréquenter. Dans cette partie du jardin se trouvait une petite cabane où personne n'avait osé approcher; un endroit noir sombre, avec pour seule lumière une petite porte.
Il me poussa à l'intérieur puis ferma la porte à double tour.
Là voilà ma douce punition.....
Je suis Vitannie, Vitannie, Vitannie, Vitannie tout court. Je n'ai jamais connu mes parents, ma mère était la servante personnelle de madame Agness Sommers, la femme de monsieur Henry. Madame Agness avait trois enfants : Albin, Fedna, Nathaniel.
Quand je suis née ma mère a rendu l'âme.
Madame Agness m'avait élevé comme sa fille puis tous à basculer, elle est morte pour sauvée son quatrième enfant : Kristal; puis mon meilleur ami est parti pour l'étranger. Et c'est là que mon cauchemar a commencé.
Je suis devenue comme une esclave dans cette maison, je vis dans la chambre la plus misérable,mange le moins, travaille le plus, mais se n'est pas le pire, quand le travail ne plait pas au maitre ( ce qui arrive presque chaque jour), il m'envoie à l'étouffoir ou quand je l'énerve assez, je récolte le fouet.

Je regarde autour de moi, cherchant même un petit point de lumière mais n'en trouve point.
Je m'assis alors au sol, mangeant la pomme que j'ai piqué dans le panier de tante Cristallina, essayant de ne pas penser à l'endroit où je suis : Dans un espace clos, où ne passe pas l'ombre d'une petite portion d'air, où j'ai l'impression d'étouffer, où je n'peux plus respirer, où je vois ma vie se défiler devant moi.
STOP!!! Il faut que je sorte d'ici...

Je me réveille dans un lit douillets. Douillets?!
Où suis- je? Est-ce le paradis? L'enfer a telle une si bonne odeur.
Je me leva en sursauts car je n'étais pas dans ma chambre. Je n'ai jamais eu de lit douillets.
Je regarda la pièce éclairé de mille et une bougies, avant de remarquer la personne près de la fenêtre ouverte, le regard loin. Cette chevelure que je reconnaîtrai parmis des milliers voulait grâce au vent chaud de l'été.
Quand ces yeux croisa les miens, un sourire vient illuminer ces lèvres
- Grâce au ciel, cria-t-elle, Vitannie, ça va?
Elle se leva de sa chaise pour se placer devant moi.
Ces iris bleue glacial me fixaient avec insistance, son visage était penché sur le côté, brûlant presque quelques boucles blondes de sa chevelure dans la flamme d'une bougie.
Je n'avais que six ans quand je l'ai connu. Quand sa mère fut morte, je me suis promis de lui donner le peu d'éducation que j'avais et tous l'amour que je pouvais. C'était une façon de remercier sa mère, puis je me suis attachée à elle.
- Ne refais plus jamais ça Vitannie, je m'suis inquiétée. Promet moi, que tu ne référais plus jamais ça même s'il le méritait.
- *Rire* Je te le promet Kristal.








Bonjour/Bonsoir à tous et à toutes.
Ça fait longtemps que je souhaite publié ce livre, mais faute de temps je ne l'ai pas fait. Je l'ai créé grâce et avec ma meilleure amie, j'espère quelle vous plaira.

Merci beaucoup d'avoir lu, on se retrouve dans huit jour ou moins pour un prochain chapitre

+ que des amisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant