La veille de mon départ

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J'avais gagné au jeu à un moment inattendu, il fallait m'apprêter pour aller en France précisément à Toulouse, Rouan, Lyon et Paris. Tania ma cousine était à Rouan.

- Salut Tania, j'ai gagné le concours Canal et j'ai la chance de visiter la France. Je viendrai te voir bientôt mon bébé! Tu vas me faire visiter la ville!

Elle: Wawo ma chérie, je suis ravie pour toi. Il n'y avait que le virtuel entre nous; depuis mon enfance que papa nous avait amené au Cameroun. On est devenu grand sans se voir, ça sera beau de se revoir, au revoir et à bientôt.

J'étais pressée que le jour vienne pour voir Tania et ses frères. Tania est la fille de mon oncle Robert, ce dernier est le benjamin de fratrie de papa. Il avait atterri en France depuis des années après avoir rencontré une blanche Francise. Cette dernière était passionnée par des objets d'art. Tania avait le teint chocolat d'une métisse, elle était même métisse avec des cheveux éparpillés comme sa mère; des yeux marrons et des lèvres roses claires avec un petit point noir qui la rendait plus belle.

Le départ était prévu le lundi dans la nuit, mes parents n'y trouvaient aucun inconvénient, ils m'encourageaient... Dans son salon la commande à la main, les pieds joints;

- ma fille c'est une bonne chose la découverte. Je voulais t'envoyer depuis même en france mais je n'ai pas assez de connaissance dans la zone française...

- tout en collant ses deux mains, je suis très contente pour toi. Tu as hérité de ma chance.

- en ricanant, la chance c'est de moi elle l'a hérité.

-maman piétina le sol, la preuve!

- je t'ai toi ma femme or qu'au lycée on était plus de six à te courir après. J'étais le monsieur que tu avais choisi.

Papa nous faisait rire. Je me sentais très bien dans ma famille. Mais je devrais aller faire un au revoir à mon patron Paul. Il m'intéressait vraiment et avec sa déclaration mes doutes étaient effacées.

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J'enfilais une petite robe jaune moutarde avec des talons blancs, je pris ma pochette, j'arrêtai un taxi direction notre boulot.

Il sonnait seize heure, le soleil était moins ardent, dans ma robe, les dents serrées les unes aux autres, je grimpai les escaliers ce dimanche là!

Je trouvais Paul assis dans son bureau, le dos tourné pour contempler la nature: le soleil qui descendait au niveau de la colline. Je marchais sur le bout des pieds et vins lui fermer les yeux!

- c'est qui?

Je restais silencieuse, il me tint la main et je me suis glissée sur lui.

- tu es majestueusement belle; s'écria Paul. Cette robe et ton corps sont en parfaite harmonie!

-je l'ai acheté pour te faire plaisir, je suis ravie que tu l'aies aimé. Je suis venu t'annoncer que je pars en France demain si je peux avoir un congé de dix jours; je sais que ce n'est pas la procédure habituelle...

- une mauvaise nouvelle à un jour férié, qui t'a dit que je suis ici même.

- tu as oublié que je suis l'ami de Pam (Pam est la secrétaire du service, on était des vrais amies, je suis amie avec tout le monde)

- elle sera licenciée demain, j'aime venir les dimanches superviser les lieux, je n'ai aucune activité que mon travail. Pas assez d'ami, seulement la famille que je vois de temps à autre c'est pourquoi j'aime venir rester seul.

-je suis là maintenant, je lui soulignai, je vais occuper tes dimanches à te faire à manger, à nettoyer ton salon, à te couper les ongles...

-Pour cela il y a la femme de ménage. Je veux que tu me fasses des bébés, des gros bébés adorables comme toi!

- je compte le faire ne t'inquiète pas; trois gros bébé.

J'étais assise sur lui, je m'amusais avec les boutons de sa manche et de ses pectoraux. Il était bien musclé.

- tu as des muscles!

- tu veux voir; en me regardant fixement...

Je fermai les yeux, il me tint par la hanche, fais avancer ses lèvres, je répondis à son baiser. On s'embrassa, je me retournai vers lui, face à face.

Je l'embrassai intensément, il souleva ma robe, je lui ôta la ceinture. Il était déjà bien costaud au niveau de son sexe.

Je frottai ma main tout autour, puis m'agenouilla sur son pénis que je suce tout en salivant.

- tu as l'air timide dans nos locaux Anne

- si la cadence change, il faut changer de pas de danse. Je compte te faire frissonner tous les jours où tu penseras à moi!

-je compte voir ça...Sa main était sur mon clitoris...

On s'était sucé pendant des minutes, il me fit coucher sur la table, comme un compas il m'écarta les jambes, mis sa langue, mais putain ce mec allait me tuer.

- Pauuuuul...

Il me suça tout le contour, pinça avec des ses lèvres mon clitoris. Je commençai à mouiller

- t'aime ça, c'est ça?

-oui Paul domines-moi, fais-moi l'amour s'il te plaît.

Il tire le tiroir, fais sortir un paquet de capote; je lui enfile un,  bien armée.

Sa main sur ma poitrine, son armée à l'entrée de Rome, bientôt je serai conquise.

À suivre!

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