𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 𝕾𝖔𝖎𝖝𝖆𝖓𝖙𝖊 🌸

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BISMILLAH

Elle: D'accord. Tu sais que c'est grâce à toi que j'étais vraiment dedans ? Que j'ai parlé à mes parents pour que mon père reprennent ?

Moi: Je suis désolé. Selma j'ai tué quelqu'un. J'arrive plus à prier.

Elle: Il est temps de te racheter. La mort ne préviens pas.

Moi: Je suis sur un coup là. Il va rapporter gros

Elle: L'argent passe...passe avant Allah ?

Moi: On se reparle demain

FIN

J'ai coupé. Je sais qu'elle a raison. Bref sa toque

Moi: Oui

Gamze: Tiens

Il me donne des béquilles

Moi: Merci

Lui: Derien

Moi: J'peut te demande un truc

Lui: We c'est quoi

Moi: Une bouteille d'eau s'te plaît

Lui: Vas-y j'arrive

J'attend puis il remonte

Moi: Merci

Lui: Derien

Moi: Et tu sais quand mes frères m'ont présenté la villa j'ai dis « Guzman » ils ont dis bah quoi j'ai dis que tu étais pas du tout moche. Ils m'ont donc frapper

Lui: Mdrr c'est gentil j'avoue que t'es pas moche non plus

Moi: Merci 

Lui: T'inquiète

Il sort. Résumé de la nuit j'ai super mal dormis. A trois heure j'entend quelqu'un rentrer. Je regarde c'étais Karim

Lui: Je venez voir si tu dormais

Moi: J'ai mal

Lui: Tu veux essayer de prendre un doliprane ?

Moi: Je veux bien

Lui: Vas-y j'arrive

Il va le chercher. Puis reviens 

Lui: Qui c'est qui ta ramener la bouteille ?

Moi: Guzman. Quand il m'a déposer les béquilles je lui est demandé

Lui: D'accord

Je prend le Doliprane.

Lui: C'est où que ta mal ?

Moi: Le plus c'est hanche et ventre. Après j'ai mal au jambe mais c'est rien.

Il viens regarder. J'avais des hématomes

Lui: Putain tu marque beaucoup.

Moi: Je vois ça

Lui: Demain j'irais voir pour de la pommade ou truc comme ça

Moi: Merci

Lui: Derien princesse

Il est sorti. J'ai essayé de dormir mais wallah c'étais chaud. A 7h30. Guzman entre

Moi: Euh oui ?

Lui: Hier je t'es menti

Moi: Comment ça ?

Lui: Moi je te trouve belle mais aussi bonne et t'es en position de pas bouger là.

Il monte sur moi. Il mets sa main sur ma bouche. En plus de sa il me faisais peur. J'ai pris ma lampe je lui est éclater sur la tête.

Moi: KARIM

Chronique de Farah: Ma deuxième vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant