L'échec d'une jeunesse

CHAP I : l'enfance adorée de Djônma-sinilôn

                     

Il était élégant et arrogant, intelligent et naturellement doté d'une beauté qui ne pouvait empêcher aucune jouvencelle d'entreprendre une odyssée amoureuse à son égard, il s'appelait Djôman-sinilôn
À l'âge de 7 ans, à cause de sa promptitude scolarisation, il faisait déjà la 2ème année. Le courage et l'étude prenaient chez lui le dessus. Tous les écoliers, instituteurs et responsables de son établissement étaient enviés de lui et désiraient toujours l'avoir à leurs côtés. Les enseignants se voyaient dans un état incommode face à son absentéisme à l'école, en raison de son animation, sa participation maximale aux cours, et son caractère susceptible de pousser les autres condisciples à faire mêmement. La non-présence fortuite de l'enseignant n'évoquait aucun obstacle, du moment que Djônma-sinilôn est en classe, car c'est lui qui tient la salle en haleine.

Il était dépourvu de toute autre envie hormis l'étude malgré son bas âge. Ses amis voisins, après les cours, aimaient jouer au baccara et du football dans les ruelles vers la tombée du jour. Certains sont toujours inséparables à leurs pères dans les sorties ou dans des grandes synagogues, et ils se sont par finir accoutumés à ses trucs. Dans cet intervalle de temps, Djôman-sinilôn étant tout-petit, s'était adonné à l'étude, et la curiosité le caractérisait à grand pas.

Son sentiment chez les gens de surcroît chez les jeunes filles s'étend aussi loin qu'il dilate sa curiosité dans le domaine de la science.
Comme il est de coutume universelle, le plus intelligent de la classe est généralement le plus aimé, le plus consulté, et en qui on porte plus de confiance.

Les salles de classes étaient couvertes des angiospermes. La cour contenait des petites plantes à fleur qui contribuaient à l'embellissement du visage de la cour. C'est un milieu qui servait à garantir de l’action désastreuse des vents, de la trop grande ardeur du soleil, et qui met les élèves à couvert des projectiles des dangers. Ça reflétait effectivement l'apparence d'une minuscule forêt artificielle où les enfants se sentaient joyeux et récréatifs à l'ombre pendant leur temps de repos.

Les vendeuses des petites becquetances avaient formé un micro-marché sous une alysse allongée d'une cime productrice de froid doux et modéré, qui provient de ses parties ramifiées et aériennes du côté du petit portail de la cour, où le vigile prépare du thé, le gardien chargé de surveillance et de sécurité de la cour.

Parmi ces vendeuses, il y avait une dame du nom de Tanti Mouna qui vendait de clafoutis et de millas, celle-ci gardait un vif amour pour le petit Djôman à cause de son courage, son respect et son sérieux. A chaque prise de repos, les vendeuses se voient encerclées par les enfants, surtout Tanti Moune est toujours entourée en profusion par les élèves qui détiennent leur monnaie en mains, avec leur slogan 《 Tanti Moune, donnez pour moi! Tanti moune, pour moi ! 》. Lorsqu'elle braque le regard sur Djôman, elle lui donne bénévolement de gâteaux. Et, très souvent, à ses amis aussi. Cela fut une raison pour ses amis de lui suivre à ce moment pareil.

Il est tout à fait certain qu'un mauvais ami tue plus qu'un rebelle, car l’homme est capable de s'adapter à tous les caractères de ses camarades hormis leurs beautés physiques.
Parmi ses camarades, figuraient certains qui, à cet âge, peuvent déjà faire le distinguo entre la beauté et la vilaineté d'une fille, dans son corps et dans sa voix. Le petit courageux ne sachant pas ce que connaissent les autres, commence à lui sembler étrange. Quand leur regard fut porté sur le passage d'une fillette lorsqu'ils causaient au moment de la récréation, ses camarades se regardent dans les yeux et émettent de bruits de voix sourd et confus. Le Petit, ignorant de ce qui se passe, n'a pas pu se tenir inerte, il demanda, et ses camarades lui ont répondu en lui posant cette question suivante:

Quelle est ton appréciation sur le visage de cette fillette ?

- Il répond en disant : qui, moi ?
- Bien sûr toi !