Pendant le douzième et dernier mois de l'année du calendrier grégorien, qui compte 31 jours, Djôman fut envoyé pour les vacances chez son oncle maternel MABré à Tolaba, une région de vaste plaine où l'on ne trouve pas de forêts, mais la végétation d'une herbe abondante. Ce, en attendant que le résultat de l'examen sorte. Tolaba est une zone humide parsemée d'arbres résineux, dépourvue de toute élévation terrestre, dégageant de pétrichor à chaque moment qui suit une petite pluie. Djôman se voit dans un lieu où le réchauffement climatique est de haute taille, et qui provoque une faible pluviométrie et pluviosité. Il n'y s'était pas accoutumé. Le vent est chaud et sec. Son jet de regard pouvait parcourir des kilomètres dans la savane sans que la vue ne soit empêchée par un relief montagneux. Les ruisseaux, les rivières, les marécages, les marigots et les fleuves sont tous non intarissables par l'effet atmosphérique sans pluie. Le soleil y apparaît à un grand degré
Pour sa première nuit des vacances, vu sa taille et son âge, il fut hébergé dans la même chambre que les enfants du oncle Mabré. Djôman était ébranlé par la température produite par l'action du soleil chaque jour. C'était sa toute première fois d'être éloigné de ses parents, chose qui est naturellement difficile pour les enfants comme Djôman-sinilôn. Il était bien enthousiasmé pour son voyage dès qu'il en a appris de sa Maman. A présent, il se sent espacé de ses parents de 105 kilomètres.
Voilà une autre aventure qui démarre en attendant que le résultat soit promulgué.
Il était submergé et ennoyé par l'effet de nostalgie de ses parents. Il ne mangeait et ne parlait à personne. Ses prunelles restent décollées pendant 7 nuits avant qu'il ne soit accoutumés aux réalités de la zone.
Dès potron-minet, Djôman quitte le plumard aux côtés de ses maisonnées et va s'asseoir à la façade de la maison en soliloquant. Il n'y avait rien dans la tête que l'image de ses parents et ses amis.
Quelques minutes qui suivent, son oncle sortit de la chambre et le vit assis. Dans la même circonstances de temps et de lieu, il fut animé par une colère, et engendra une vocifération contre Djôman.- Qu'as-tu à foutrasser seul ici, han ? Dit son oncle.
Djôman, étant surpris par ce cris coléreux et agaçant, il fut momentanément perdu dans un traumatisme, et disturbé dans un sens dessus dessous. Complètement excité de colère. Ne sachant où aller, commença à dessiner dans son visage un regard pleurant. Son oncle étant de mauvaise humeur dès lors qu'il a appris son caractère insomnieux, lui a demandé en dégageant toute la fâcherie dans son regard, histoire de ne pas laisser le Petit imbiber dans la peur. Il dit :
- Qu'est-ce qui ne va pas ? demanda oncle.
- Rien ! répond Djôman.
- Pourquoi es-tu assis seul ici à cette heure et tu soliloques ? Retorque Oncle.
- Je veux aller à côté de Maman, dit le Petit.
- OK ! Bientôt tu te retourneras, replique Oncle.
- Viens! Va te laver le visage et prends du café pour qu'on aille ensemble en ville, dit Oncle.
Djôman, entendu cela, a fait vite fait bien fait. Il se sont embarqués dans la voiture Mercedes de couleur blanchâtre et se sont orientés dans la direction de la ville.
Tolaba est un lieu à part, mais la Ville de Tolaba en est un autre. C'est là-bas où habitent des gens ayant les poches qui conjuguent bien.
Après avoir atteint la ville, à quelques distances parcourues, ils se sont vus dans des forts embouteillages qui emboucanaient la route principale de la ville de Tolaba. Les signaux sonores produisaient des étourdissements. Les clignotants des bagnoles s’allumaient et s’éteingnaient alternativement. Les souflements des hommes vêtus dans des tenues militaires qui sont d'un corps de troupe spéciale cherchaient à maintenir la sécurité et la tranquillité publique pour qu'il ait la libre circulation, rapide et fiable.
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L'échec d'une jeunesse
Tarihi KurguUn tout-petit jeune du nom de Djônma-sinilôn, était un studieux hors pair de sa génération. Son courage et son sérieux faisaient de lui un jeune pétillant et auréolé, dont ses parents s'étaient déjà plongés dans le bysse de l'espoir, a, sans avancer...