Ludovic

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" Bonjour Ellie ! Comment tu vas aujourd'hui ? Tu es ravissante aujourd'hui." Me complimente Ludovic.

Je le laisse entré sans un mot et j'affiche un sourire forcé.

Il me demande alors où sont mes parents et je lui dit simplement d'un ton blasé :

"Ils sont parti travailler aujourd'hui"

Il me scupta alors d'un air sur exciter et bavant devant ma tenue. Je crois qu'il me trouve à son goût.

En revanche son regard était étrange. Remplis de haine et de colère.

Pour le calmer, je lui demande si il veux du café. Bien entendu il accepte sans broncher.

Maman en avais déjà préparer. je lui sert, noir sans sucre, comme d'habitude.

Il se détends un peu et commence
alors à me complimenté.

Comme à son habitude, je suis une déesse de la beauté, que je devrais
devenir top modèle et j'en passe.

Même si je comprends rien à ce qui me chante, je commence à lui
faire un massage des épaules, pas envie qui m'éclate la tête au sol.

Puis il met de la musique latino pour que je puisse lui faire un streap tease comme il adore.

Son regard change, il se met à bavé, un gros pervert. Pas le choix. Je dois le finir sinon on va morflé.

Je veux pas que papa perd son travail à cause de moi. Il travail à l'usine international "Liverpool", une usine
à chaine pour fabriquer les armes militaires. On sais tous que c'est une façade et que la vrai usine est au
sous sol.

Enfin moi je le sais puisque je dois souvent livrer des colis. Je ne sais pas trop ce que c'est.

Mais j'ai souvent la nausées et des hallucinations quand je les renifles.
Il dénoue sa cravate bleu marine puis sa chemise blanche à moitié. Son torse était remplis de poils
noirs.

Son regard était brillant et son sourire était immense. Il me tire vers lui pour tripoter mes petites
fesses plates, il me plante ses ongles dans la chair puis commence à glisser ses grosses mains sous ma
robe, il la retire petit à petit.

Puis décide de la déchirer. J'ai juste ma culotte blanche sur moi. Il titille mes petits seins avec ses doigts puis décide de les prendre en bouche comme un sauvage.

Je ne dois pas paraitre faible. Je ne dois pas crier.

Il passe ensuite une de ses mains sur ma culotte afin de titiller ma vaginette.

Bien entendu, sa m'excitait quand même. Je pousse quelques cris de plaisir. Son excitation s'agrandit comme prévu et enlève son
jean.

Il bandais fort... Il enlève alors son boxer et commence à se frotter à moi, comme si j'étais son
territoire, sa proie.

Je dois penser à de choses mignonnes... Je dois penser à de choses mignonne.

Aïe !
Il viens de me jeter au sol pour me pénétré sec,ça fait mal bordel !

Il commence à faire des vas et viens de plus en plus rapide. Je commence à saigner mais il s'en fou.

Ma tête commence à tournée. Je me sens mal. Il viens de jouir comme un gros porc. Je m'écrouille sous la
douleur et il s'en vas. Avant de fermé la porte d'entrée, il laisse un mot à mes parents pour leur dire que
l'affaire est un succès.

Mission accomplis.

EllieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant