Incompatible

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                                                                                           PDV:sky

14h45

Je balança mon poing dans sa figure et il cracha du sang.
Mon meilleur ami lui tourne autour en jouant avec son couteau.
-Parle, ou tu souffriras. dit-il.
Le détenu ria de toutes ses dents, recouvertes de son propre sang.

-Jamais.
Son sourire me donne une putain d'envie de gerber

Merde ce n'est pas moi tout ça.

-Parfait, tu ne veux pas, alors tu peux dire au revoir à ta belle famille. dis-je avec une telle conviction que moi même connaissais pas.

Et d'un coup la balle de mon revolver transperça sa jugulaire et il mourra en moins de deux minutes. 

Je regarde le corps sans vie. Je vois son visage. Le siens. 

Je ferme les yeux, puis les ouvre. Ce n'est plus ses jolies expressions mais bien celles de l'homme.

Putain j'ai encore halluciner.

-Sky ça va? demande mon meilleur ami

-Oui oui, j'étais dans mon monde... J-Je crois.menti-je pour ne pas l'inquiéter.

Il me regarde comprenant que je ne veux pas en parler.

Les personnes charger de ramasser le corps s'en viennent et en attendant je vais dehors pour pouvoir respirer normalement.
-Bella tu n'a pas l'air bien.

-Thomas arrête de t'inquiéter pour moi je vais bien. dis-je en essayant un peut plus de me convaincre moi que lui.

-Je suis ton meilleur ami tu peut tout me dire.

-J-Je c'est dans ma tête, comme toujours mais-.Je m'arrête sentant les larmes venir trop rapidement. Il faut que je paraisse forte, je ne suis pas faible...

-Sky regarde moi, j'encra mes yeux dan les siens, ce n'est pas ta faute.

-Oui ce l'ai, et ce le sera toujours...
Il me prend dans ses bras et nous restons comme ça un bon moment avant de se séparer pour retourner dans nos maisons respectives.

***
17h30
-Chérie vient souper ça va être froid!
Dès que j'entends la vois de mon père qui m'appelle je range mon livre et descends les escaliers. Hadès, mon doberman, se réveilla à mes mouvement me suivant jusqu'à la salle a manger.

Je m'assoie a table sans dire une mot et commence à manger.

-Dit donc tes bavarde toi, me taquina mon paternel.

-Ma chérie fait un petit effort quand même...

-J'ai pas envie maman, un silence enrobait maintenant la pièce. Tu peut arrêter de me regarder comme ça toi!?

-Tu passeras jamais par déçu, tu vois bien que t'es à la traîne a comparer de nous la!?

-Aaron! ça suffit excuse toi MAINTENANT, cria ma mère.