La Lune d'Or

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- "tu veux vraiment que je te raconte cette histoire ?"
- "oui !"
- "mais c'est la 12eme fois."
- "je m'en fiche."
- "bon très bien. Alors..."

Tout commence par une soirée d'hiver, pendant un balle, dans un jardin. Ce jour là un prince se promenait dans les allées décorer. Le prince en avait eu marre de la fête qui était pourtant en son honneur. Le roi voulait absolument qu'il se marie et pour ce fait, il avait invité toute les famille noble du royaume. Cependant, le prince, aussi têtu qu'il peux l'être, refuser de se marier, voulant rester libre comme il le disait si bien. C'est pourquoi il était sortie dans les magnifique jardin du palais.
Il fut cependant surpris quand il découvrit qu'une autre personne avait eu la même idée que lui. En effet un jeune homme au yeux très étrange étais assis la. Le prince n'avait jamais vu d'yeux pareille. Deux magnifiques pupilles doré qui étaient toute deux plus belle que la plus belle dorure du palais. Il avait également de long cheveux bruns clair attacher en queue de cheval a l'arrière de sa tête et certainement a l'arrache. Sa peau était pâle, presque blanche.
Le prince, après l'avoir admiré décida de s'assoir a côté du jeune homme.
- "bonsoir. Puis-je."
- "bien sur votre altesse."
L'homme assis regarda le prince. Il avait de cours cheveux noire ébène, le visage assez pâle et les yeux d'un bleu sombre semblable au ciel de nuit.

- "pourrai-je avoir l'honneur de connaître votre nom." Dit le prince.
- "je vous l'aurais bien donner si j'en avais un." Fut la réponse qu'il obtient.
- "vous n'avait pas de prénom ?"
- "et bien nom. Ma famille a été contrainte de me renier avant même ma naissance. Je n'est ni prénom, ni nom de famille."
- "vous seriez vous introduit dans le palais."
- "comment ? Non. Je n'aurais pas osée."
- "alors que faite vous ici et qui vous a donner l'autorisation d'entrer."
- "... Puis-je vous faire confiance ?"
- "bien sûr. Je ne le dirais à personne. Je veux seulement connaître la raison de votre présence."
- "pour tout vous dire... Une femme d'une famille noble ma trouvé a la rue quand j'étais plus jeune. Elle m'a ramené chez elle et a demander à son mari de m'adopter. Sauf que, pour une famille noble, adopter un enfant est une honte. Donc, il a refusé. Mme. n'as pas voulut me mettre à la porte. Elle a donc menti à M. et m'a emmener dans le grenier sans son accord pour que je puisse avoir un toit. Elle a demander à la servante de ne rien dire et de m'apporter a manger en cachette 3 dois par jour ainsi que des vêtements propre. Elle est extrêmement gentil. Un peux plus tard, Mme. a mit ses enfants au courant de ma présence. Son aîné est beaucoup plus grand que moi mais il est très gentil. Il avait déjà quitter la maison avant mon arrivée car il est déjà marier. Mlle. ... Pour tout dire je ne sais même pas si il y a un jour où elle n'est pas passer me voir, si ce n'est quand elle est absente de la maison ou malade. D'ailleurs, s'y vous tenez tant que ça a m'appeler par un nom, Mlle. m'appelle Geum. Je suis pose que c'est a cause de mes yeux..." Fit il dans un première élan sans s'arrêter.
- "je vois." Lui répondit le prince qui avait bien écouter l'histoire de son vie a vie. "Mais ça ne m'explique pas pourquoi vous êtes ici très cher."
- "j'y venais. Voyez vous le roi a invité M., Mme. et Mlle. a venir au balle en disant qu'il invité toute la famille. Mme. a donc décidé que je devais venir. Je lui est dit que ce n'étais pas là peine mais elle voulait absolument que je sorte et que je participe et que, d'après elle, je fait partie de la famille. Je ne voulais pas lui faire de peine en voyant qu'elle voulait que je vienne. Donc, me voilà devant vous."
- "très bien. Ça explique votre présence. Même si c'est un peux original."
- "je sais." Fit le jeune homme. "Dite moi, vous n'allez pas porter plainte ou le dire à M. ?"
- "non ne t'en fait pas. Je ne le dirais à personne. Ce secret sera garder en ce lieu."
- "je vous remercie. Je ne veux pas que qui que ce soit aient des problème parce que je ne sais pas tenir ma langue." Fit il avec un petit sourire. "Au faite, sans paraître impolie, puis-je connaître votre nom ?"
- "je connais le votre. Il ne serais pas polie de ne pas donner le mien. Je m'appelle Mok. Je suppose que tu connais le nom royal qui est Jeo."
- "la servante de Mme. me rapporte souvent des livre pour m'occuper. Je crois avoir lue 4 ou 5 fois l'histoire complète du pays."

La Lune d'Or / conte / OsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant