Poème 8 : Indifférence

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Emportée par ce vent si infernal,
Je cours et m'efforce pour y échapper.
Contrôlée par la densité des flammes,
Cette longue rage continue à me frapper.
Mes efforts louables semblent insurmontable
Et ma colère ne fait que m'emporter.

Puis, "calme" vient apaiser les doux pêchers,
Pour qu'"insouciance" cesse ces futilités.
Mais, sots sont ceux bafouant "véracité",
Car, seul ceux-là ignorent l'humanité;
Qui cherche à dévoiler nos maux cachés,
Par la lueur éclairant l'apogée.

Ainsi soit dissiper ceux que je damne.
Après tout, on ne peut se fier qu'aux âmes,
Qui nous conforme à la splendeur du charme.
Et si je daigne porter aux grains de sables,
L'intérêt capté, égal à ces fables;
Je souhaite qu'il ne soit en rien décevable.

Recueil de poèmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant