𝟎𝟎.

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                                             MAISON BOUCAOUIRI

Moi : Oui oui, je vais aller faire à manger désoler, j'étais au travail j'avais une réunion. C'est pour ça que j'ai pris autant de temps désolé j'y vais tous de suite.

Papa : J'en ai rien à faire, dépêche-toi tu commence vraiment à m'énerver !

Il étais énervé parce que j'ai pris un peu plus de temps au travail. Bon je vais rien dire comme d'habitude car sinon je vais me faire tabassée. Je ne pouvais rien dire parce qu'il étais sous l'effet de l'alcool et c'est mieux que je me taise.

Je vais dans la cuisine, je prépare mes pattes à la sauce tomate. J'essaye de les faire le plus vite possible. Entre temps mon frère est rentrer dans la cuisine et il me fait un bisou sur le front.

Islem : Ça va ? Tous ta l'heure j'ai entendu crier. L'autre il a ENCORE crier et ta frapper ?

Il avais bien insisté sur le mot encore.

Moi : Oui mais ne t'inquiète pas, c'est rien.

Islem : Arrête de me dire que c'est rien qu'il ne faut pas que je m'inquiète, c'est pas normal ce qu'il te fait mais t'inquiète pas je vais aller lui parler il recommencera plus parce que la vérité il commence a me mettre le démons, à boire, crier toute la journée. Il te frapper h24 c'est pas normal Zeyna.

Moi : Mais non ne t'inquiète pas mon amour, laisse le c'est rien il ne m'a pas frapper ne t'inquiète pas il va ce calmer. Va faire t'es devoirs monsieur sa t'occupera. Aller fil !

Je ri puis il fronce les sourcils.

Islem : D'accord mais si il recommence a te crier dessus ou a te lever la main dessus, devant moi, je vais pas me retenir je te prévient Zeyna ! Bon aller vas-y je vais regarder en vite fais si j'ai des devoir hein.

Il me fait un clin d'œil puis il ri.

Moi : Non vraiment Islem cette année c'est le bac je rigole pas.

Il me fait un autre bisou sur le front et il sort de la cuisine pour monter à l'étage, dans ça chambre.

Cette discussion m'a fait du bien néanmoins j'ai tellement peur que si Islem parle ou intervient quand mon père me frappe, m'insulte ou me crie dessus, qu'il l'insulte ou qu'il le vire de chez lui sauf que vivre dans cette maison sans Islem c'est comme vivre dans une maison où il y a que des bourré et être la seule "normale".

Je finie de préparer mes pattes et j'appelle mon frère qui étais dans sa chambre pour venir manger avec moi.

Mon frère et moi nous mangeons et discutons de tous et de rien. Ont fini donc de manger, je range nos assiettes je vais prendre l'assiette de mon père et de ma soeur pour leur apporter au salon car il n'aime pas manger en ma présence. Je dépose sur la table basse mais ils n'étais pas là.

Je repart dans la cuisine pour faire la vaisselle et ranger ce qui traîne.

Inconnu : Oh grosse chienne vient la !

Nala.

Moi : Qu'est-ce que tu veux toi encore et parle correctement je suis pas ta pute.

Nala : Vas-y ferme t'a gueule sale grosse chienne, tu sais même pas faire à manger tu veut nous empoisonner papa et moi ? Connasse va !

Moi : Franchement ferme bien ta bouche sale, Islem et moi on a manger et c'était très très bon. Si tu n'est pas contente, la cuisine est à ta disposition tu peut aller cuisiner quand sa te chante. Tu me déteste juste parce que maman elle m'a appris pleins de chose comme faire à manger, le ménage, le linges ect et surtout être indépendante.

Je marque une pause.

Moi : At 35ans personne veut de toi à par tourner dans les caves tu fait quoi d'autre de t'es journée, dit moi ? Rien, donc évite de me traiter de chienne ou pire de pute parce que là seule pute que je vois ici c'est bien toi donc reste à ta place je te préviens si tu veut pas finir à l'hôpital.

Je marque une pause.

Moi : Le pire c'est que maman avais tellement honte de sortir avec toi ou même que les gens dehors dissent que tu étais sa fille ! Toi au lieu de rendre fière papa avec un vrai travail et de l'argent propre tu fait tous le contraire sale crasseuse ! Moi au moins j'ai un travail stable et je ramène de l'argent propre à la maison même si papa ne veut pas le dire je sais très bien qu'il est fière de mon parcours.

Elle n'a pas trouver de réponse à mon récit. En même temps elle n'a rien à dire tous se que je viens de dire est la strict vérité. Elle aime tellement me rabaisser quand elle ramène des hommes à la maison. Son comportement est pitoyable.

Je sort du salon je met mes chaussure, un gilet, il fesait 10 degrés dehors mais je n'avais pas d'habille, avec l'habitude je tombe souvent malade mais bon malheureusement je ne suis pas autorisé à utiliser l'argent que je gagne pour moi. Je sort je n'ai même pas de téléphone ...

Je marchais seule je ne connaissais personnes je n'ai même pas d'amies.

Je continue de marchée je ne sais où, quand tout d'un coup j'entends une voiture me suivre. Je n'avais pas peur car je préfère être kidnappée que rester dans cette maison. La voiture s'arrête à ma hauteur je ne fait pas attention, je continue de marchée. Quand tous d'un coup la personne dans la voiture m'interpella.

Inconnu : ça va princesse?

Il vient de m'appeler princesse? Appart ma mère personne ne m'avais réellement porter de parole affective ou gentille à mon égard il y a aussi Islem ne l'oublions pas bien sûr.

Je me retourne et je voit une voiture magnifique. Elle étais noir avec des vitres teintées mais je ne voyais pas la personne. La voiture s'arrête à ma hauteur, je voit un homme stock, cheveux mi-long avec des lunettes un sourire incroyable et des dents white.

Je fait comme si de rien étais et je continue d'avancez. Mais je sens que la voiture me suis toujours. Je ne laisse rien paraître, je voit un parc au loin et je me dirige vers le parc. Il étais assez loin quand même . Mais je ne sais pas pourquoi je me suis dit:
va lui parler au pire si il te kidnappe tant pis. Je me retourner pour savoir ce qu'il voulait.

Moi : On se connaît ?

             𝐂'𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐦𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧𝐞́.

C'était mon destinéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant