chapitre 1:

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La musique se déchaine dans la pièce, la lumière tamisée me fait voir pas aussi loin que je le voudrais. Mais je vois juste assez loin pour voir les billets voler devant moi.

Je me déhanche sensuellement sur la scène, ma peau presque nu caché par seulement quelque bous de tissu semble exciter un de mes plus fidèle client qui semble se branler dans un des box à gauche de la scène.

La barre de pole-dance derrière moi, me tends les mains donc je commençais à faire des figures sexy dans le rythme de la musique jusqu'à ce que la musique prend fin ce qui sonne la fin de la dance. Alors juste avant de descendre de scène je récupérais les billets lancer par les client lors de ma prestation. à chaque billets ramasser le montant augmentais: 100-200-300-400-500... mais je fus arrêter par un client qui me fait me mettre à genou sur la scène pour glisser un billets de 100 dollars dans le bout de tissu qui me sert de string, je lui envoyais un baiser et je repris mon activité de ramasser les billets un peu plus vite car le début d'une autre dance allais commencer.

Dès que j'avais fini de ramasser tous les billets, je me dirigeait vers les salles des employé. Dès que je passais la première porte l'ambiance changeais drastiquement, les lumière tamisée devenait des lumière aveuglante, la musique assourdissante devenait un calme de cimetière et les murs peint sombrement devenait des murs de béton.

Une ambiance tellement opposer que ça me choque à chaque fois même après des année de métiers. J'avançais dans le couloir jusqu'à la première porte à droite. cette pièce était destiner au employé. Il y avait beaucoup de casiers pour les employé mais qu'un seul était par personne. Un de c'est casiers était donc le mien. Je ne l'avais pas beaucoup décorer et j'avais mis le strict minimum dedans, c'est à dire mes habilles de ville, du maquillage, quelque paire de talons haut et une petite boite.

Je pris les billets et je pris dedans 400 dollars, et je l'ai mettais de la boite. puis je sortis de la pièce est je continuais le couloir jusqu'à la dernière porte du couloir. la porte étais noir, comme le cœur de l'homme qui y avais dans cette pièce.

je toquais et entrais, la pièce étais sombre, un bureau en bois qui je pense valais un beau paquet d'argent au milieu de la pièce, deux fauteuils en cuir noir qui était devant le bureau, des bibliothèque sur tous les murs puis une grande fenêtre qui montrait la rue. Et surtout un homme, mon patron, qui regardais par la fenêtre dos à moi.

-Mmh, excusez-moi de vous dérangez monsieur, mais j'ai l'argent que j'ai gagné, euh, non que j'ai réussi à avoir. je lui dit en lui tendent un peu près 1500 dollars.

Il se retournais, il planta ses yeux noir dans les miens en tendent ça main pour récupérer l'argent.

alors j'avançais pour lui donner.

-Merci, tu dois faire plus d'argent. me dit-il avec arrogance en m'arrachant des mains. C'est la dernière fois que tu me rends si peu d'argent. c'est compris?

Puis ça main partis pour gifler ma joue. l'instant d'après un vif picotement viens sur ma joue gauche.

-Oui je ne vous décevrai pas encore une fois, je vous le promet. Je lui dit pleine de rage

Je le vois venir vers moi, dès que la distance étais trop courte entre nous je reculais encore et encore jusqu'à heurter une bibliothèque. Il s'avança puis me dit une voix pleine de dégout:

-Tu me la déjà promis il y a une semaine! oublie pas que c'est grâce à moi si tu n'es pas morte sous un pont à être dévorer par les rat est les gens de ton espèce: les pauvre! va travailler maintenant, monsieur Jacky Popol dois t'attendre. Et si l'envie de partir avant 8 heure demain matin te viens oublie pas que tu mourras dans les prochaine minutes de ta sortie du club.

El CarniceroOù les histoires vivent. Découvrez maintenant