Chapitre 1 : Une fin

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Dans la lisière des flocons de neige, seule une chevelure noire comme les cendres restait visible. Mais quelques secondes plus tard apparu une jeune fille, belle même très belle que tout le monde surnommait la sorcière car ses yeux étaient bleu à droite et marron de l'autre. Mais pourtant sa beauté était fameuse tout le monde dans le village ne retenait que cette bizzarerie.

- Constance ! Ma chère qu'est ce que tu fait la ? Tu vas attraper la mort. Dit la mère de cette demoiselle.
- Mais mère c'est si apaisant, on dirait qu'on vole ! Vennez donc essayer avec moi !
- Pour qu'on me prenne pour une folle or de question.
- Mais c'est si marrant !!
- Tu t'amuseras plus tard ma fille, après être allée chez les Devallé.

Alors mère et fille se misent en route jusqu'à la demeure des Devallé. Et pendant tout le chemin, la mère critiqua sa fille sur ses vêtements qui n'étaient que souillon et qu'elle aurait dû ça coûtée avec plus de soins. En effet Constance était habillée avec une longue robe qui était trempée ce qui fessais ressortir la couleur bleue de celle-ci. Elle ne portait point de corset ce qui faisait vulgaire.
Les deux femmes arrivèrent au pied de la demeure. Elle était si immense qu'elles durent lever la tête pour voir le haut. Elle montèrent les marches, et frappèrent dans une porte en bois massif. Et une minute plus tard la porte s'ouvrit et elles purent voir une décoration arborant d'or et même de diamants.

- Bonjour ! Merci de nous accueillir. Dit la mère.
- Mais il n'y a pas de quoi nous serons bientôt de la même famille ! Dit une dame habillée du façon chic.
- Mais bien sûr je ne l'avais pas vue comme ça. Je m'appelle Marie, et vous ?
- Appeller moi Madame, car j'ai dit de la même famille et non amie.
- Mais bien que je suis impolie.
- Mais mère vous n'êtes pas impolie c'est à cette dame qu'il faudrais apprendre la politesse. Dit Constance discrètement à sa mère.

Constance discrètement s'éclipsa de la réunion qu'avait organisée madame et monsieur Devallé. Elle se retrouva dans une pièce à coucher tout est sublime l'or se trouvait sur tous les pans des murs. La fille eut le temps de faire le tour de la chambre qui était immense, que la porte s'ouvrir sur son futur époux. Elle se retourna brusquement et s'ensuivit une discussion, qui ne ravit pas du tout Constance. En effet Arthur lui avait fait part de ses envies. Qui était pour Constance trop radicales pour une personne de vingt-cinq ans.

- Alors je vous prie de prendre congé comme vous ne voulez pas parler avec moi ! Dit Arthur.
- Très bonne idée ! Sur tout si ça peut vous repousser de vous marier avec moi !

Constance partie si furie du manoir qu'elle ne préviens même pas sa mère.

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