~you are mine beauty 😏~

❌Animaux enragés ⛔️

t/p: vous êtes à moi à présent soi sa soi muzan haha

Rengoku : on va voir qui va rire après sa ~

Tengen : ho oui haha ~

Ils me plaquèrent au mur un regard de prédateur sexuelle. La flamme commençais à s'amuser avec mon cou le léchant et mordillant tandis que l'autre me déshabille ptit a ptit pour se diriger vers mes mamelons et jouer avec. Finalement c'était moi le jouet.
Tengen me porte et me mit sur le lit à quatre patte laissant une très belle vue à ces sauvages. Tengen se mit devant moi, nu et avec une envie grandisante a mesure de sont entrejambe. Je compris vite se que je devait faire. Rengoku quand à lui, me pris par derrière et commença à se frotter légèrement à mon entrer me laissant de petits gémissements comme signe d'envie.

Il me pénètre violemment se qui me fit lâcher quelque larme pendant ma fellation. Je continuais mes vas et viens rapide m'amusant quelque fois avec son gland lâchant deja quelque goute.
Tengen me prit par les cheveux et me fit accélérer ma fellation et jouis en moi lâchant sa semence dans ma bouche, il lâcha un long gémissements de plaisir et se leva pour, lui, me pénétrer aussi avis dans l'autre trou et était en compétition avec son collègue afin de me faire atteindre l'extase.
Rengoku a son tour accéléra le mouvement se déversant en lâchant un gémissement d'extase en meme temps que moi et nous nous écroulons sur le lit, moi entre les deux sauvages.

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PDV Rengoku

Ptn mais qu'est ce que j'ai foutu ! J'ai couché avec une traitre et surtout l'ex de mon collègue !
Mais je l'aime heu je l'aimait aussi ...même si elle me manipule depuis le début je l'aime. Mais je me pose plus de questions pour Uzui, il aime et est normalement fidèle à ses femmes, ces 3 femmes très belle d'ailleurs.
Devrais je parler de cette situation quelque peu délicate à mon partenaire de cellule même si celle si est studieuse et nous somme bien traitées.
Oui ! Il faut en parler pour avance haha

PDV Tengen

Eh merde qu'est qu'elle est bonne...non non non et non je suis déjà occupé par mes femmes. Mais une de plus une de moins...
NON quelle belle succube elle est pour avoir réussie à m'attirer dans son lit et hanter mes pensées les plus perverses et sombre.
Et quand est t'il de Rengoku, mon collègue et mon meilleur ami.
Serait-il déjà amoureux d'elle avant s'être fait attraper ?
Plein de questions me passe par la tête comme une course sans fin.je vis Rengoku avancer en ma direction.

Rengoku : Uzui...pourquoi la t'ont fait ? Étions nous conscients ?

Uzui : je ne sais guère. Mais tout se que je sais se que je n'était pas moi même...J'ai une question...

Rengoku : je t'écoute.

Uzui : serai tu amoureux de notre chère succube ? Ou que tu ai eu une toute autres relation avec elle ?

Rengoku : pendant son infiltration, elle m'a embrasse...je suis cette fortement intéressé par cette fille mais ne doute pas de mon efficacité au combat, je reste un pilier.

Uzui : ok je ne dirais rien secret en ami :) .

Rengoku : merci !

Et ils fouillèrent toute la pièce pour s'occuper ou trouver un moyen de partir.on s'occupa comme on pouvait on cherchait de nouveau vêtement propre mais aucun vêtement n'était dans cette pièce à part de vieilles robes, kimonos et vêtements de demoiselle en tout genre.
On resta donc en sous vêtement, nous dirigeant vers le lit pour ne pas attraper froid. Je ne n'avais plus la notion du temps comme rengoku d'ailleurs, aucune horloge.
Je me sentais con, con d'avoir couchée avec elle, une traitre, con d'avoir trailli mes belles épouses. Pour moi des secondes, des minutes, des heures passaient et la démone n'était pas revenue.
Rengoku et moi était déjà endormie sous les lourde penser et souvenir de cette nuit.

PDV t/p

Je me dirigeâmes vers la cellule luxueuse de mes otages quelques peu surprenants. J'avais deux plateaux avec de la nourriture humaine que je connaissais autrefois. J'ouvris la porte délicatement et vis qu'ils dormaient comme des bébés.
Je posa les plateaux sur une petite table et vint les secouer pour qu'il se nourrissent avant que se ne soit immangeable. Je secouais le grand briquet...mais sans résultat. Je recommença et...il m'attrapa le bras tellement fort que je ne pouvais plus partir.
Au bout d'un certains temps de débats, n'abandonna et me coucha sur son torse musclé, lâchant un p'tit somme.