Il est mort à la seconde où j'ai arrêté de penser
Il se cognait contre les quatre coins de mon âme de manière à m'empêcher de dormir
Il y arrivait car je n'étais qu'un zombie sous le point de fléchirUn être ne dépendant que d'amour et de chaleur
Un temps rempli de regards sans même compter l'heure
Une statue de cire qui ne saurait sa valeurSon reflet glaçant sur lequel rebondissait mon amour devenait de plus en plus laid
Son amour monothéique en était presque surjouer
Il est née à la seconde où j'ai commencé à penser- Diadoline Nsimba
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Une lettre de toi
PoetryLes lettres d'une âme perdue, d'une âme sans vie, d'une âme solitaire. - Une Lettre de toi @DiadolineNsimba