gang's school

rétablissement

Une semaine que je suis cloîtré sur le pieu du l'hosto, je regarde les infos je voit que le bahut dans lequel je suis part royalement en sucette.

Y'a des motards, des bagnoles de sport, des hordes de corbeaux et des bastons a grande ampleur.

Je peut rien faire, et c'est tellement le bordel que le reportage se fait avec un caméraman dans un hélico, j'éteins la télé.

Ethan rentre dans la chambre.

- Salut, comment tu te sent ?

- Comme une truite dans un Bocal.

- Ouai je m'en doutais, t'a jamais supporter l'hôpital, même sans ça, ne pas pouvoir te castagner c'est pas possible pour toi.

- Ouai, bon comment va ton frère ?

- il va bien il est sorti y'a 4 jours, quasiment le lendemain de ton arrivé ici.

- Il aurait du resté deux jours de plus, je ressens toujours pas mon corps, je peut juste bouger mon bras droit, mais là boisson accéléré énormément la remise en état, tout les soir mon bras craque mais je refais une radio demain, je vais bien voir comment c'est.

- Super, j'en suis content, je suis pas retourné au lycée depuis que t'es là, je sais pas ce qui s'y passe mais je voit Victor ce soir au club.

- Ok.

Sans savoir la raison, ma mâchoire s'est crispé et mon bras droit a tremblé sans y avoir le contrôle.

Je convulse, Ethan appel les médecins qui me prennent en charge, je suis conscient mais impossible de contrôler quoi que ce soit.

Ils me mette un masque et me fait respirer du chloroforme, ça m'appaise et je m'arrête de convulser après quelques minutes, je fini par m'endormir car ils ont augmenté la dose, afin de dans le monde des rêve, je sent le brancard se déplacer.

M'opère t'il ? J'entend la voix de mon père, il hurle, semble si éloigné de moi, je ne comprends pas trop ce qui se passe..

   

Je suis dans le bloc opératoire, Blasius, mon père visionne mon opération, apparemment j'aurai fait une réaction au sédatif, une mauvaise hélas, j'ai beau beau être costaud mais quand je doit subir des soins hospitaliers celà me rend plus que fragile, mon corps n'a jamais supporter, et ceux, depuis que je suis enfant.

Sauf que pour mon cas actuel, j'était bien trop amoché pour me soigné seul avec de vulgaires anticorps aussi fort soit il.

Après l'opération j'ai étai mit dans un mini coma artificiel pour une durée de 3mois, durant cette période personne n'est venu, mais je ressens une sorte d'éveil mental, comme si j'allais me réveiller avec de super pouvoir, mais je suis pas un personnage de fiction.

Finalement je ne me réveil toujours pas après ses trois mois, ça inquiète les toubibs alors que je suis tout simplement trop défoncer par les médoc pour ouvrir les yeux, je suis en pleine parti de ping pong dans mon cerveau dans un monde de licorne.. bref je suis en pleine défonce.

Deux jours après je me réveil, regarde autour de moi avant de bouger et de me lever, je perd pas de temps, j'arrache tout ces patches et sort dans le couloir les fesses a l'air habiller avec ma blouse d'hôpital.

Ohh je pense que plus d'une ont admirer mon derrière, ces infirmières ont des pensées salaces, je suis certain de pouvoir m'en taper une un jour.

Je retourne dans ma chambre m'habiller et partir de l'hôpital pour rentrer chez moi voir mon daron en titubant contre les murs.

Ethan m'interpelle à la sorti, sur le parking assis sur le capot de sa bagnole, se fumant un cigare.

- Bah alors mon gars, t'en a marre de te faire peloter par les infirmières ? J'allais venir te voir justement, prendre des nouvelles, visiblement c'est good, aller monte je te dépose chez toi.

Je le regarde bizarre, mais je fini par monter, je gagnerai du temps.

- Merci, ça m'évitera de marcher comme un pingouin pendant 6 kilomètres.

Il se met à rigoler un peu et monte dans sa caisse pour me déposé.

Le trajet est rapide et insupportable ment glacial, aucun de nous n'a quelque chose a dire hélas, mais quand je suis descendu de la voiture une fois arrivé, je lui ait fait un check du poing pour le remercier de s'être battu a les côté une dernière fois.

A peine passé ma porte d'entrée que je le fait incendier par les sbires de mon père, mais ils ne le passe pas un savons au contraire,il me vénère d'être toujours vivant et de retour.

- Bon retour parmi nous fils, vient accueillir les nouveaux

Je vais voir les nouveaux qui viennent d'arriver dans le clans, je les analyses, 3 hommes et deux femmes, plutôt mignonnes.

- Salut, alors , qu'est ce qui vous amène ici ? Quels sont vos motivations a rejoindre notre clans ?

Je vient a peine d'arriver que je me prend pour le chef, je me fait recadrer par le vieux.

- Hemett, va te coucher t'en a besoin, ils seront sous tes ordres une fois que tu sera rétabli, autrement dit demain.

- Ok d'accord.

Je regarde les autres.

- Bon bah salut, à plus tard.

Et je vais m'en vais dans ma piaule, je ramasse vite fait le bazar sur le lit, mais je suis distrait par une lettre qui m'ait adressé alors je l'ouvre.

" Salutations distinguées Hemett, tu ne me connait pas encore, mais ça ne vas pas tarder, j'ignore quand je serai dans le coin, soir je serai là avant que tu lise ce message soit l'année prochaine, a la fin de ton examen, cependant je doit te dire que notre rencontre ne sera que distrayante et surtout brutal, j'espère que tu sera prêt à devenir le corbeau qui sommeille en toi. "

Je ne comprends pas, c'est un message codé ? Enfin bref je ne sais pas de qui il s'agit et c'est perturbant, mais ça ne me dérange pas, lui il me connait probablement et il le dit clairement  dans sa lettre, quand je le verrai il y'aura une bagarre, c'est quand il veut je suis déjà prêt.