Ton sourire bienveillant {Mitsuya x Reader}

Chapter 1

-Je suis désolé. Vous ne pourrez plus faire de sport.

-Quoi !

-Suite à votre accident vos os sont devenu trop fragiles.

-Mais...je...

Je ne peux plus faire de gym.

Je m'appelle Ayame Saito et j'ai 15ans. J'adore la gymnastique et j'en fait depuis toute petite. C'est ma mère qui m'a donné envie. Elle était une grande gymnaste mais elle est décédée lors d'un voyage pour une compétition en France. Je vis seule avec mon père. Il a été dévasté face à la mort de sa femme et il est tombé dans la drogue et l'alcool. Il est devenu très violent. La gym s'était mon seul moyen de m'échapper. Sans ça je suis plus rien. C'était la seule chose qui me rattachais à ma mère.

Je ne dois pas me laisser abattre. Je vais changer. Pourquoi pas me teindre les cheveux.

Je rentre dans un magasin qui vend des teintures. Hum... Du violet. C'est ma couleur préférée. Mais je ne sais pas lequel choisir. Il y en a trop. Je vois un jeune homme de mon age. C'est surement un employer. Je l'appelle et il se retourne. Il a les cheveux violet-argenté et a une boucle d'oreille. 

Moi : eh, excusez moi. Je n'arrive pas à choisir entre tout ces violets. J'aimerai changer.

Il parait surpris et rigole légerement.

Lui: celui la vous irait le mieux. Pourquoi voulez vous absolumment changer ?

Moi : vous en posez des questions vous mais comme vous m'avez aider je vais vous raconter. Je me suis blesser et mes os sont devenu trop fragiles donc je ne peux plus faire ma passion. Et c'etait la seule chose qui me rattachait à ma mère.

Lui : je suis désolé pour toi. Mais n'essaye pas de trop changer, tu es déjà très bien comme tu es.

Je rougis et détourne le regard. Il rigole doucement et part. Il était assez étrange celui là. Je sors du magasin après avoir payer. Ça coute cher. Je pense que je vais l'écouter et pas trop changer. Je vais me faire que quelques mèches.

Je rentre chez moi rapidement pour arriver avant le géniteur. Il n'aime pas que je rentre après lui et il me frappe après. Je vais dans la salle de bain et me fait la teinture. Franchement j'adore ce violet. En plus ça me va trop bien. J'entends la porte claqué. Il est rentré. Je me dépeche de tout ranger. Je descends rapidement l'escalier et je le vois dans le salon en train d'allumer la télé.

Moi : bonjour père.

Je suis obligé de l'appeler père sinon il s'énerve. Il tourne la tete vers moi et soupire.

Père : pourquoi t'a fait ça ?

Moi : tu parles de mes mèches. J'aime bien, je voulais changer.

Père : et bah moi j'aime pas. T'es moche comme ça.

Moi : et bah tant pis pour toi ! Je fais ce que je veux.

Père : répete pour voir.

Moi : c'est ma vie.

Il s'approche de moi et me giffle. Je tombe par terre. Je releve la tete et je vois qu'il s'est rassis sur le canapé. Il commence à fumer et dit :

Père : parle mieux.

J'ouvre la porte d'entrée. Il fait chier. Je me bars.

Père : tu fais quoi ? Reviens.

Moi : me parle pas.

Je lui fais un doigt et je claque la porte. Je pars loin de cet maison. Il a changé depuis la mort de maman. Il va surement me frapper quand je vais revenir. Balek. J'ai qu'a rentrer plus tard. Je me balade sans trop regarder où je vais. Je sens quelques goutes. Je lève la tête et je vois qu'il pleut. Merde j'ai pas de capuche. Tant pis je vais être trempée.

?: Eh ! Tu fais quoi là à regarder le ciel sans bouger ? Rentre chez toi tu vas être trempée.

Je tourne la tête et je vois l'employer.

Moi : c'est pas grave. De toute façon j'ai nul par où aller.

Soudain il arrete de pleuvoir. Je releve la tête surprise et je me rends compte qu'il il y a un parapluie au dessus de ma tête. C'est le garçon aux cheveux violets. Je le regarde surprise.

Lui : faut pas que tu tombes malade.

Moi : tu me connais même pas.

Lui :pas grave, je ne vais pas laisser une jolie fille tomber malade.

Il commence à partir. Je remarque qu'il est en tee-shirt manche courte.

Moi: Mais et toi ?

Lui : tu en as plus besoin. Et j'habite juste à coté.

Il me laisse seule avec son parapluie. Pourquoi il a fait ça. Il est vraiment bizarre ce garçon. Je me rends compte qu'un sourire apparait sur mon visage.

Moi: Mais ! Pourquoi je souris moi ?