Ton sourire bienveillant {Mitsuya x Reader}

Chapter 10

Mon père arrete soudainement de me frapper. J'ouvre lentement les yeux et je vois Mitsuya devant moi. Mon père le devisage longuement avant de dire

Daron : t'es qui toi encore sale merde ?  Bouge ou je te frappe !

Mitsuya : et vous qui etes vous au juste ? Pas un pere en tout cas. Un père ne frappe pas sa fille. Et de quel droit vous la frapper !? Elle ne mérite pas ça ! Elle était chez moi hier soir. C'est moi qui ait forcé pour qu'elle reste mais elle était mieux chez moi que ici en tout cas !

Daron : bah vazy emmene là avec toi alors. De toute manière je m'en fiche. 

Mitsuya me tire pas le bras et m'emene hors de "chez moi". On marche pendant longtemps ou peu ? Je ne sais pas. Je me sens juste vide là. Mon père ne m'a jamais aimé ni conscidéré comme sa fille. Je ne sais plus pourquoi ça me fait encore mal. Je percute Mitsuya qui s'était arreté. Je recule de 2 pas en me massant le front. Il se retourne et me regarde. Il approche sa main de mon visage et j'ai un mouvement de recul. Il s'en rend compte mais passe quand meme sa main sur ma joue. C'est humide. Il retire sa main et me sourit.

Mitsuya : tu pleurais. Mais c'est bon maintenant.

Moi : pourquoi...pourquoi t'es quand même venu ? Je t'ai dit des choses horribles... Alors pourquoi ?

Il ne dit rien pendant un moment puis me fixe dans les yeux et me repond

Mitsuya : je t'ai entendu crier. Je n'allai pas rester là sans rien faire.

Moi : oui mais quand meme... Je suis une personne horrible..je-

Mitsuya prend mon visage entre ses mains en m'arretant.

Mitsuya : je ne pense pas que tu es quelqu'un d'horrible Ayame. Tu as le droit de dire des choses que tu ne penses pas sous le poid de la colère et je ne suis personne pour te juger. Tu vivais sous une pression enorme alors des fois ça doit sortir. Je pense qu' on se ressemble assez pour ça.

Moi : ton père te frappe et ne t'aime pas ?

Mitsuya : mon père est mort.

Je le regarde avec des grands yeux surprise.

Moi : désolé...je ne savais pas...c'était bas de ma part.

Mitsuya : c'était il y a longtemps... On se ressemble car on a tout les deux une pression énorme sur les épaules. Je dois toujours faire attention à l'argent que j'utilise, je dois prendre soin de mes sœurs car ma mère est rarement là...

Moi : je ne savais pas...

Mitsuya me relache et recule de plusieurs pas. Il me sourit.

Mitsuya : si tu veux tu peux rester chez moi le temps qu'on trouve une solution.

Moi : vraiment !?

Mitsuya : bah oui si je te le propose

On recommence à marcher en direction de chez lui.

Moi : tu sais en faite... Je l'aime bien ton sourire bienveillant.

Je le vois sourire du coin de l'oeil.