PROLOGUE

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   C'était une nuit comme les autres, le silence régnait en maître dans les ruelles de la petite ville de  Nashville et chaque maison était plongée dans un calme monopolisant; seul les bruits du tonnerre enjoliver par les gouttes d'eaux pluviales résonnèrent dans toute la contrée. Mais derrière ces bruits pour la plupart paisible et qui offraient un sommeil agréable à certains, un grand drame se déroulait dans la maison de la famille Adams.
E

n effet , seul des cris de terreur, de chagrin, de douleur et de supplications pourraient parvenir à un passant s'il n'y en avait eu ce soir là. Le responsable de ces cris de souffrance ne s'en délectait que plus lorsque ceux-ci poussaient des supplications à prendre en pitié tout Homme possédant un cœur pourtant le coupable restait de marbre avec sur son visage un souri narquois teinté de haine.  Face à cet être dénué d'humanité se tenait une femme à genoux fixant le corps sans vie de celui qui avait été son mari pendant dix longs années et poussant des supplications pour éviter à sa fille de seulement six ans le même sort. Cette dernière s'était fait prendre dans sa cachette et gisait presque sans sous les coups de l'être cruel que constituait son tortionnaire faisant état égal avec sa mère qui voit sa vie lui échapper petit à petit et qui aura comme dernière souvenir les cris de douleurs de sa fille mélangés aux siennes dans des supplications vaines. Après une dernière larme et le souffle court les deux finissent par abandonné tout et dans un silence mû rejoignirent celui qui fuit pendant un bon moment l'homme de la maison. L'immonde créature dans un rire de pure folie, admira son œuvre semblant tout satisfait du résultat puis dans un pas argile et rapide se fondait dans la pénombre de la nuit laissant à la pluie, seul témoin de ses actes, le soin de le purifier de ses démons; purification qui semble vaine puisque l'homme ne perdait rien de sa cruauté sans borne et de sa folie meurtrière. Cette maison était devenu un sorte de lieu de chasse personnelle car tout être qui y mettait pied était soumis au même sort que cette famille décimé sous les coups de tonnerre de l'orage qui semblait vouloir se consoler lui-même et se punir de ne pouvoir venir en aide à ces êtres dont la vie prit fin sous ses yeux.

 Cette maison était devenu un sorte de lieu de chasse personnelle car tout être qui y mettait pied était soumis au même sort que cette famille décimé sous les coups de tonnerre de l'orage qui semblait vouloir se consoler lui-même et se punir de ne...

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