Prologue

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Avyanna 

Ce fils de pute d'Alexis m'as encore laissé seule pour l'entrainement.

Putain ce qu'il peut faire chier quand il s'y met. Et bien évidemment je n'ai pas son numéro de téléphone. Ok c'est bientôt le parrain de la mafia mais il peut bien trouvé quelques heures pour ce putain  d'entrainement. C'est la mission la plus importante que j'ai eu à faire. Il faut que je prouve que j'ai ma place dans cet mafia. Être une femme dans une mafia c'est jamais facile, tous ces fils de putes qui vous prenne de haut, qui vous disent des choses obscène. Ce que j'aimerai tous les tués vous n'imaginez pas, je peux et veut le faire, mais je ne peux pas parce que je cite "la Bratva ce n'est pas juste une mafia c'est une Fratrie". 

Fratrie mon cul oui. Ce n'était plus une fratrie quand ils sont su ce que t'as mère avait fait!

Tais toi. Ferme là.

Bon! Honnêtement si Alexis ne débarque dans les cinq minutes qui suivent  je me casse de la salle d'entrainement, je vais pas l'attendre pendant une heure, je ne suis pas une de ses putes. Et puis il fait froid  dans cet salle, il n'y a pas de chauffage ou quoi ? 

Juste à ce moment-là j'entends des pas, par reflexe je sors mon couteau ,ma mère la donnée avant de mourir, c'est devenu mon couteau porte bonheur. J'adore les combats rapprochés alors le couteau est une bonne arme. Les pas continuent j'avance vers le bruit des pas, couteau en main prête à trancher une gorge si j'en vois une. Glock-17 dans mon holster au niveau de la cuisse, je suis prête. 

J'avance prudemment. La porte est ouverte. Il fait froid. La porte est putain d'ouverte. Comment j'ai pu ne pas m'en rendre compte sérieusement ?   

Parce que t'es juste incompétente !

NON! 

Où est Alexis? Il n'est jamais la quand un besoin de lui celui-là! Les bruits de pas sont de plus en plus fort, je m'approche de ma cible, putain mais qui ça peut être, qui est à ce point fou pour venir dans la salle d'entrainement privé de la Bratva. 

Je prends mon Glock-17 et range mon couteau dans mon porte couteau au niveau de la hanche. je ferais mieux de prendre mon pistolet je ne sais pas si ma cible a un pistolet ou pas, je préfère être prudente, je compte sortir ce soir.

Pistolet en main je m'avance, je suis au bout du mur qui sépare la salle d'entrainement et le couloir. La porte qui est ouverte donne sur le couloir qui lui donne sur la salle d'armement. Je ne m'inquiète pas pour la salle d'armement, il faut un code pour déverrouiller les sortes de placards automatisé où sont placé les armes, et ce code seul certaines personnes de la Bratva le connaissent, dont moi.

Je sors d'un coup de la salle d'entrainement et vise, qui? Je ne sais pas parce qu'il n'y a personne... Putain, je termine de vérifié qu'il y a bien personne dans le long couloir. La salle d'armement. La personne est dans la salle d'armement.

Je sens l'adrénaline monté en flèche dans mon corps, l'excitation de la situation, le moment où tu ne sais pas si tu vas mourir ou vivre, ce moment où tu sens le danger arriver de partout. Je peux peut-être paraitre folle mais cette putain de sensation me fait sentir vivante. J'aime cet sensation.

Je vois la porte de la salle d'armement, elle est grande ouverte. J'ai hâte de rencontré cette personne et de la tué. Je m'avance, et j'arrive à côtés de la porte je suis collée au mur pour ne pas être visible. Je suis excitais j'ai hâte.

En une demi seconde je bouge et me mets dans l'encadrement de la porte et vise mais... Quoi? Personne ? C'est pas possible. Je suis sûr que l'intrus est là! Putain c'est quoi ce bordel?! Je regarde dans le couloir. A droite, à gauche, mais je ne vois personne. 

Derrière toi imbécile !

Je me retourne rapidement, mais toujours personne. Satané voix de merde. Je me retourne et avance dans la pièce. Arrivé au milieu de la pièce la porte se claque. Je sursaute et me retourne, vise et tire. Putain c'est qui lui, un mec, grand 1m95, très musclé avec une cagoule, qui fonce vers moi. Je reçois un coup au visage, il lève son bars pour m'envoyer un autre coup mais j'esquive, je suis petite comparé à lui et plus mince, je fais 1m70 pour 58 kilos, je suis donc beaucoup plus rapide que lui, c'est un avantage, je dois m'en servir.

Je cours au bout de la pièce, je range mon Glock-17, il me sera pas utile, et sors mon couteau, je le regarde sourire aux lèvres prête à l'affronter, cet homme est devenu en moins d'une seconde un ennemie et ma cible. 

Je vois qu'il à un couteau lui aussi, parfait, un de nous deux va mourir ce soir, et ça ne sera sûrement pas moi, j'ai des choses de prévu, autant vite en finir avec ce mec. J'ai pas le temps de rigoler qu'il court vers moi. Il va vite ce fils de pute, j'ai même pas vu venir son coup de couteau, heureusement que j'ai des réflexes sinon je me le serait pris en plein milieu de ma poitrine.

A mon tour, j'attaque, je vise sa gorge plus précisément sa jugulaire, je vais vite, mais je sens une pression sur mon poignet, c'est lui , il attrape mon poignet et se met derrière moi à toute vitesse. Cette odeur , je la reconnais, je sens le couteau s'enfoncé dans la peau de mon cou petit à petit, un picotement ce fait sentir. C'était lui. Sa main sur ma hanche, l'autre sur mon poignet. C'est lui

- Perdu Plyskovicha...Dit-il d'un murmure, comme si nous étions observé.  

-Alexis. Dis-je, à mon tour d'un murmure quasiment inaudible. 

Il me lâche et part, comme si de rien n'étais, me laissant debout dans cette salle seule.

Tu es faible. Tu t'es fait avoir bêtement.

Faible. 

Perdante. 

-Putain...dis-je à moi-même.

Fils de pute de Smirovitch.





----------------------------------------------------------------------------------------------  Le prologue est fini. J'ai passé plus de 2heures à écrire le prologue. En ayant du The Weeknd dans les oreilles. Quel plaisir. 

Le prologue est peut-être un peu long. Je ne sais pas. En tous cas dites-moi si ça vous à plus! Je suis curieuse d'écouter vos avis. Que de la bienveillance. 

On se retrouve au prochain chapitre! J'ai hâte!!!!

N <3. 



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