You are mine

chapitre 5

-Oh princesse on va jouer mais pas tout de suite. Attend d'être à l'appartement.

Attendre !? Tu te fou de moi ? Quitte à ce que tu me prenne dans un coin, prends moi. Je veux jouer avec toi. Peu importe le lieu.

Je garda mon impatience pour moi et continua gentillement ce que nous faisions.

Les courses fini, on rentra assez rapidement. On voulait l'un de l'autre et on voulait de nouveau retourner dans nos instinct sombre.

La voiture garée, il prit les courses qu'il devait mettre au frigo, le reste resta dans sa voiture pour quand il repartira. Je préférais ne pas rappeler qu'il repartait bientôt. Je crois que ce sera une frustration trop grande à gérer et je préférais ne pas m'en soucier maintenant.

Le sol du porche était mouillé et à tout moment une chute aurait eu lieu. Alors si je tombe je savais que Hadès serait mort de rire comme personne. Si Hades tombe je m'inquiète puis je serais morte de rire. Des priorités différentes.

On rentra sur nos deux pieds. Hades vida le sac et mis ce qu'il faut dans le frigo.

Je me dirigea vers la chambre et me coucha dessus tel un patapouf. Je commençais vraiment à bien aimer cette ambiance et surtout ce lit.

Des souvenirs de hier me pris, l'image de Hades au-dessus de moi. Un Hades recouvert de sueur à force de me faire l'amour. Ses muscles qui se contractent et deviennent massifs montrent toute la force brute. Sa peau blanche, ce teint de lait. Ses yeux noirs empreints de plaisir, de haine et de désir.

Son regard qui exprime tant. "Je veux de toi. Je te hais. Tu m'obsèdes". Qu'est-ce que tu regardes chez moi dieu grec? A quoi penses- tu ?

J'aurais tellement aimé savoir à ce moment-là. Pouvoir lire dans sa tête.

Sa gorge qui se contracte révélant des veines, sa respiration saccadée de plaisir et de gémissement. Chaque détail me revient. Chaque subtilité de son corps. Ses tatouages dont j'ai envie de tracer le tour avec mes doigts. De connaître chaque subtilité de son corps. Tout apprendre. Découvrir chaque zone sensible. Chaque zone qui le ferait dérailler.

Ses cheveux noirs dont l'envie de passer sa main dedans et de tirer dessus. Toute les parties de lui son un simple suplice ou une réclamation a quelque chose.

Si les gens aimaient tant le Vanilla, je comprendrais mais moi je ne suis définitivement pas faite pour cette pratique. J'aime quand il me domine. J'aime quand je me fais dégrader, j'aime quand je me fais attacher et être à la merci de l'autre. J'aime le sentiment d'appartenance. J'aime l'énervement qu'il me procure. J'aime le lâcher-prise. Tout ses aspects du bdsm que j'aime tant.

En parlant du loup qui me rend folle... il se mit au-dessus de moi, me souria et m'embrassa.

Mon cerveau se déconnecta pour laisser place à cette sensation de plaisir naissante. Je savais que je prenais déjà du plaisir. Continue Dieu grec. Continue ne pas me lâche pas. Continue a me rendre folle. Continue à me faire prendre du plaisir et à m'exciter.

Je savais que ton ego allait apprécier chaque mots gentils de ma part. Plus je te déteste et plus tu aimes ça car tu sais que tu n'auras cas me touché pour me rendre folle. Je te déteste.

Je te déteste dieu grec.

Il sépara ses lèvres des miennes et souleva mon haut. Mon haut perdu une vague de froid me fit frissonner avant d'être vite réchauffer par l'homme au-dessus de moi qui s'attaqua à mon bas.

Le dieu grec me retira mon pantalon et ma culotte. J'étais complètement nu face à lui et ça ne me dérangeait pas au contraire. Cela me plaisait énormément.