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Tout le monde dance comme des fous, plein de musique connu passe et le premier slow arrive, Louis s'approche de moi lentement et me tend sa main,
Je pose la mienne au dessus de la sienne, il me tire pour me rapprocher de moi et passe ses main au tour de ma taille, pas besoin d'y réfléchir, je lève le bras et les enlaces au dessus du coup de Louis, à se moment précis plus rien n'exister sauf lui et moi...
Je lache une larme de joie
- Ça va ?
- je ne pourrait jamais me sentir plus vivante et heureuse
Il me lève la tête et dépose un baisais sur ma joue, Léa nous fixer mais pour une fois son regard ne m'importer peu voir pas, le slow toucher à sa fin, je décide d'aller prendre l'aire, en sortant la neige étais présente, moi qui vivais à Paris centre avant je n'avais jamais connu ça, c'était magnifique, je m'assois sur les marche du réfectoire et me met à pleurer, toute mes émotions refaisaient surface
- Miss ? Tu dance pas ?
J'essuie mes larme vite et me tourne pour laisser place à Lucas qui viens s'assoir à coter de moi
- Ça va ?
- oui oui je suis fatigué c'est tout
Lucas regarde le ciel et dis
- la neige... c'est magnifique
Je tend la main et un flocon de neige tombe au creux de ma paume
- j'en avais jamais vu à Paris
Je tourne ma tête et regarde Lucas qui lui étais tomber amoureux du ciel, et de la neige
- Et toi pourquoi tu va pas dancer ?
- Oh, toute les filles me colle et j'en ai marre
Je rigole nerveusement mais assez pour le faire rire à son tour
Le deuxième slow fait son entrée, en cherchant Hanaëlle je vois qu'elle dance encore avec Théo...
- Oh je n'ai plus de partenaires
- J'en ai pas non plus, m'accorde tu cette dance ?
- avec grand plaisir
On se met à dancer mais là je vois que tout le monde nous regarde, pour cette fois leurs regard me font peur, je me sent oppressé, je décide de regarde Lucas dans les yeux, de suite je ne sent plus cette sensation d'oppression,
A la fin du slow je sors à nouveau du self mais cette fois c'est pour aller me coucher, j'aime beaucoup cette école, mais d'être nouvelle en tout cas de l'être encore me plaît pas du tout, vivement les grande vacance...
En me dirigeant vers ma chambre, je sentit une main qui se pose sur mon épaule
- Miss ?
Je me retourne en sursaut et vois Louis
- J'ai... j'ai quelque chose à te dire
- quoi ?
Il m'embrasse, cette instant étais comme infini, je me sentais comme au slow, vivante...
- pardon
- non t'inquiète
- je voulais te dire que ton père m'a donner ça, le soir ou tu la vu, il m'a donner quelques chose mais ça se voyais qu'il ne me faisait pas confiance
Il me tend une lettre
- si tu veux je peux te laisser
- non c'est bon reste
Je prend la lettre et l'ouvre
- c'est quoi ?
- un billet, un billet pour l'Alberta
- Pour quand ?
- Mai, 18 mai
- Et le billet retour ?
- attend il y a un mot :
Quand tu étais petite tu me parler toujours de l'Alberta, je t'avais promis que pour t'es 16 ans on irais, même si c'est dans un an, pourquoi pas y aller ?
- Tu irais la bas pour y vivre ?
- il n'y a pas de billet retour
Je ne sais pas quoi penser, je suis heureuse en même temps déboussolait, j'aimerais aller la bah pour y vivre mais en même temps, Louis Lucas et Hanaëlle je ne vais pas les abandonner comme ça ?

Et pourquoi pas Où les histoires vivent. Découvrez maintenant