Le Destin... {BakuDeku}

PROLOGUE

Caporal : Trouvez moi ce gamin de mes deux avant le coucher du soleil si vous ne voulez pas vous faire couper la tête par le roi.

Les gardes, effrayés et aussi conscients que leur roi est parfaitement capable de leur couper la tête sans une seule hésitation, s'atélèrent à la recherche du fugitif toujours en fuite.

Non loin de ce grand désordre que constituait ces gardes éparpillés dans les quatre coins du royaume se trouvait un homme de petite taille se faufilant avec agilité entre la rivière de personnes que constituait le marché.

Il a opté pour le chemin le plus court pour arriver rapidement dans la forêt et pour se faire il devait passer par la partie ouest du royaume, grimper la clôture et disparaître inconnito entre ces arbres géants.

Il ajusta sa capuche essayant de cacher le plus possible ces cheveux et ses yeux tous les deux de couleur verte. Ses yeux s'illuminèrent alors qu'il avait enfin en visuel la clôture.

Il y avait deux gardes posté là mais ce sera un jeu d'enfant pour lui de les passer sans aucune difficulté, quitte à les tuer.

Alors qu'il accélérais le pas pour quitter plus vite cet endroit il fut surpris quand quelque chose lui attrapa la cape qu'il portait, retirant au passage sa capuche.

La main qui lui avait retiré la capuche lui saisi durement les cheveux lui faisant poussé un plainte de douleur.

Tout les bruits cessèrent et toute l'attention était portée sur la scène qui se produisait à l'instant.

Caporal : Midoriya Izuku. Je t'ai enfin attrapé. Tu était très coriace mais je t'ai enfin entre mes mains. Je suis sûr que mon roi sera très content de moi.

Izuku ne pouvait répondre sans que sa voix ne vacille. Il pleurait, il pleurait de douleur et de haine. Il était presque proche de son but et ça le mettait en colère de n'y êtes pas parvenu. Avant même qu'il n'est pu profaner toutes le grossièretés qui lui passait par la tête, il ressenti une vive douleur à la tête lui faisant émettre un cri aigu de douleur.

Avant mêle qu'il n'est pu comprendre ce qui lui arrivait, tout était déjà noir...

Il se réveilla quelques heures plus tard menotté aux poignets et aux chevilles, dans une pièce sombre et avec seulement un chemise surdimensionné sur lui, et en sentant le frottement désagréable de son penis et de ses fesses contre le sol, il émit l'hypothèse qu'il n'avait rien à part cette chemise sur son corps.

Il avait affreusement mal à la tête, non, il avait mal partout comme si un troupeau d'éléphant et d'hypopotame lui était passé sur le corps.

Et à en juger par ses fesses, ses reins et ses hanches douleureuses et le liquide qui coulait le long de sa cuisse, il s'est fait violer, encore...

Des larmes silencieuses coulèrent sur ses joues alors qu'il avait les yeux dans le vide. Il se recroquevilla sur lui même, enfonça sa tête dans ses genoux plié et laissa déverser sa tristesse à travers ses larmes.

C'est la troisième fois qu'il essayait de s'échapper. À chaque tentative, il se faisait chopper et ça l'enervait.

Il était en colère, oui en colère contre tout ces gardes, contre le même caporal qui le ramène chaque fois dans cette cage mal odorante et surtout il était en colère contre ce stupide roi.

La porte métallique de sa prison s'ouvrit et peu de temps plus tard, des bruits de pas se faisèrent entendre. Ces pas se rapprochèrent de plus en plus de lui le faisant se recroqueviller encore plus.

??? : Haaa... Izuku. Combien de fois vas-tu comprendre que tu ne peux quitter cet endroit ?

Izuku frissona en entendant cette voix grave mais dégoûtante selon lui.
Il sentit des doigts lui tenir le menton mes les claqua fortement en se reculant.

Garde : Comment oses tu misérable !

Le Garde s'apprêtait à lui porter main mais le roi le stoppa.

Roi : sortez d'ici...

Garde : Mais mon roi...

Le nommé lui lança un regard qui veut claire dire '' ferme la et obéis ''. Le Garde s'inclina et sortit rapidement de la cellule.

Le roi s'accroupi à la hauteur du plus petit et lui tira les cheveux, le forçant à le regarder. Des plaintes douleureuses quittèrent la bouche d'Izuku alors qu'il dirigeait ses petites mains remplis de cicatrices vers la grande et robuste main gantée dans ses cheveux.

Roi : Tu es si mignon Izu... Pourquoi faut-il que tu me désobéisse ?

Il passa son pouce sur la lèvre inférieur du petit qui tremblait, sachant déjà ce qui arrivera.

Roi : Je n'ai vraiment pas envie de te faire du mal tu sais ? Mais... Si tu continue comme ça... Je serai obligé de le faire... Regarde moi ce corps tout blanc qui ne demande qu'à être marqué...

Izuku sentir un forte douleur à l'épaule lui faisant émettre un hurlement de douleur. De grosses larmes quittèrent ses yeux alors que son corps était secoué de spasmes.

Roi : Et ton sang est si... Succulent...

Une langue rugueuse passa sur la trace de sang sur son épaule et une main remonta sa chemise s'arrêtant à sa poitrine.

Et, alors qu'il commençait à perdre espoir de pouvoir encore sortir d'ici et d'empêcher de toujours se faire violer soit par le roi ou par des gardes, son corps se mit à briller d'une forte lumière verte.

Le roi fut projeter contre un mur alors qu'Izuku était confus de ce qui ce passait.

Roi : Mais qu'est ce que...

Avant même qu'il n'est terminer sa phrase des éclairs noirs jaillirent d'Izuku détruisant tout sur son passage.

Le roi écarquilla les yeux en se levant le plus rapidement possible pour s'enfuir mais l'un des éclairs lui transperça le ventre lui faisant cracher du sang.

Izuku lui, pendant un long moment, avait oublié qu'il était un magicien possédant des pouvoirs, alors il saisit cette opportunité et sauta dans le trou que les éclairs avaient causé dans l'un des murs. Tant pis s'il se cassait une jambe ou quelques côtes, le plus important est de fuir le plus vite cet enfer.

Et heureusement pour lui, le scène de plus tôt avait attiré l'attention de plusieurs gardes, y compris ceux sensés protéger le portail.

Et aussi pour son plus grand bonheur, le château était très proche de la forêt. Cette fois ci il le sent, il sera enfin libre.