1.Les larmes invisibles

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Il est déjà 2h du matin et mes larmes ont arrêtées de couler depuis bien longtemps, je suis rouler en boule si bien que mes cuisses en  sang tâchent mon torse de son affreuse couleur rouge, une couleur que je ne voit que trop souvent. Je sers toujours ma lame dans la main, je voudrais la serrer plus fort mais je me contrôle, si les mains sont abîmées sera se verra à l'entraînement.
Je suis épuisé, encore un nuit de gâchée que je vais rattraper en cour, j'aurais alors une mauvaise note au prochain contrôle et il me frappera encore plus fort que ce soir.
A cette pensée j'enroule encore un plus fort mon corps sur lui même et je m'endort encore une fois a  bout de force après avoir pleure pendant des heures

🌼


PVD Suga

Je me réveille avec les premiers rayons de soleil et commence une routine bien a moi. Je commence d'abord par désinfecter et bien bander mes entailles de la veille. Il faut que le bandage soit assez solide pour tenir a l'entraînement de volley, surtout que aujourd'hui on est mercredi, c'est a dire que ont a cours que la matinée et volley toute l'après midi.

J'applique également de la pommade sur tout les bleus qu'il m'a laissé. Heureusement je peux les cacher avec mes vêtements, il les fait toujours a des endroits invisibles.

Je me nettoie ensuite le visage et me maquille pour cacher les traces des larmes et les cernes plus grosses de jour en jour. Cela doit bien faire  un an et demi que je n'ai pas fait de nuit de plus de 3 heures.

Je m'habille rapidement prends mon sac et descend les escaliers le plus silencieusement possible. Je sais qu'à cette heure là il est déjà partit rejoindre son entreprise mais la peur de le croiser quand même me force à me faire tout petit. Je passe mon chemin et sort de cet endroit maudit sans même avoir mangé.

Ça aussi c'est quel que chose que je n'arrive plus à faire correctement, manger me demande un effort surhumain et c'est devenu normale que je passe plusieurs jour sans manger ou que je me fasse vomir quand Daichi me force à finir mon assiette.

En parlant de Daichi, il m'attend au croisement de nos deux rues comme toujours depuis la primaire. On se connait depuis tout petit et il n'est pas rare que j'aille dormir chez lui pour lui échapper. Nos mères étaient de grandes amies avant, c'est comme ça que l'on s'est rencontrer et que l'on ne s'est plus jamais quitté. J'ai parfois plus l'impression d'appartenir a ça famille qu'à la mienne.

Il m'accueille comme avec son habitude d'un grand sourire accompagné d'un signe de la main. Mais je perçois un pointe d'inquiétude dans son regard tandis qu'il me détaille.

Je sais qu'il sait ce qu'il se passe, mais il ne m'a jamais fait part de l'inquiétude que je perçois dans ses yeux lorsqu'ils les pose sur moi.

Dans un sens je crois que ça me rassure, je ne pense pas être capable de parler de ce qu'il me faut subir une fois que je passe la porte de chez moi, mais dans un autre je suis un peu déçu, a chaque fois que j'y pense, ma poitrine se serre douloureusement sans que je ne sache vraiment pourquoi.

Je ne laisse rien par etre de mon dilemme interieure et je le salue en retour, nous partons alors côté a cote sur le chemin du lycée.

PVD Daichi

Je vois mon ami aux cheveux argentés arrivé vers moi avec un grand sourire je lui rend et le salue.

Les fleurs ont besoin de soleil.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant