Vie tes rêves, ne rêve pas ta vie

CHAPITRE 3 : WELCOME LONDRES

2 heures d’avion c’est super long , heureusement j avais mon I phone pour écouter les 1D .

« Eclipse du trajet d’avion »

Arrivée à l’aéroport international de Londres , j’ouvris grand les yeux , enfin nous y étions ENFIN … Une femme se tenait en retrait avec le nom de ma tante écrit sur un panneau.

-          Myriam : Les filles, je pense que c’est pour nous. Allons y .

-          Femme : Mme Candelon ?

-          Myriam : Oui c’est bien moi

-          Femme :  Votre entreprise à mis à votre disposition une voiture avec chauffeur et une suite à l’hôtel Magestic pour vous et nos nièces. Voici vos badges à ne surtout pas perdre pour pouvoir circuler librement dans l’hôtel ainsi que dans les stades, et coulisses des cérémonies d’ouverture et de fermeture. Bon séjour à Londres mesdemoiselles.

-          Myriam : Vous savez , je suis là surtout pour le travail, pas pour les vacances.

-          Femmes : Pour moi voir des rugbymans toutes la journée serait comme des vacances parfaites …

-          Lola : si vous le dites … nous les vacances parfaites seraient de les passer avec les 1D.

-          Femme : hahaha , attendez vous alors à avoir un choc. Sur ce bon séjour d’autres journalistes m’attendent.

-          Sam : Elle a voulu dire quoi par attendez vous à avoir un choc … J’espère que leur concert n’est pas annulé !

-          Lola :  Si il est annulé je retourne de suite en France.

-          Myriam : les filles, ne commençaient pas , allez en route . Je vais devoir vous parler avant que l’on arrive à l’hôtel.

Dans la voiture , ma tante nous tient se discourt :

-          Bon les filles, contrairement à vous je ne suis pas la pour le plaisir, avec le mondial de rugby je vais  pas souvent vous voir à cause du travail. Maintenant vous avez 16 et 18 ans alors je vous fais confiance pour pas faire de conneries, et vous attirer des ennuies. Si vous me prometter de nous tenir comme des jeunes filles convenables, je vous laisse carte blanche pendant ce mois et demi.

-          Les Filles : Oui tatie.

-          Myriam : une seule condition toute fois, vous me téléphoné 3 fois par jour pour me dire ce que vous faite.

L’arrivée devant l’hôtel ne se passa pas comme prévue. Des « Gorilles » bloquaient l’entrée. Nous étions obligés de montrer nos badges à l’entrée pour pouvoir y rentrée.

-          Sam : Excusé moi, il se passe quoi ici, me dite pas que toutes ses filles qui hurlent sont là pour des rugbymans ?

-          Gorilles : Vous êtes sérieuse ? vous ne savais pas ce qui se passe ? hahaha

-          Sam au filles : ils sont vraiment bizarre ces anglais, déjà la fille de l’aéroport et maintenant lui qui parlent par sous entendus.

-          Aur : c’est les anglais !!

Après cette arrivée quelques peu bizarre, nous pouvions enfin accéder dans l’hôtel.  Au 19 ème étage , où se trouver notre suite, des gorilles partout. Vraiment bizarre !!!.

-          Myriam : bon les filles je pars au stade de  Twickenham, alors pas de connerie pendant mon absence. Et surtout vous me téléphoné si vous sortez. J’essai de ne pas rentrée trop tard.

-          Les filles : ok, bosses bien !!!

-          Lola : Les filles j’ai pas envie de défaire maintenant les valises, cela vous dis d’exploré l’hôtel à la recherche de beau garçons ?

Les couloirs étaient immenses … Au milieu de notre étage, se trouvait un bar. 

-          Sam :  Je prendrais bien un Pespi max moi ?

-          Lola : façon, il n’y a rien d’autre à faire. Avec un peu de chance, il y aura 3 beaux garçons, un pour chacune.

Encore des Gorilles à l’entrée du bar : Désolé mais c’est privé. Il se prend pour qui lui sérieu ? On peu même pas allez boire un verre.

-          Lola : Nous logeons dans cet hôtel et à cet étage , nous avons des Passes . (prend sa dans les dents)

-          Gorilles : toutes mes excuses, mais nous ne voulons pas d’émeute.

-          Aur : mais il parle de quoi le Men in Black

-          Sam : Chais pas !!!

  Nous trouvions une table , prés de la fenêtre afin d’admirer la vue sur la Tamise. Nos verres à la main, nous parlions du jour que l’on attendait tellement … Quand tout à coup , je senti une main sur mon épaule.

-          … : Excusez moi ?