Holland brothers

Harry

                             ~summer lovers~

Madelyne, 15ans bientôt 16 ne se délaissait pas de ce garçon.                                                                                    Harry, tout juste 16ans et sans doute éperdument amoureux de cette fille.                                                         Vous savez, cette amour. Celui qui n'est que bref, qui ne reste pas, qui vous frôle à peine du bout des doigts. Celui qu'on ne veut quand film où en livre. Celui qui ne durera pas mais celui qui restera. C'était celui là qui avait apparudans chacun de ces deux jeunes. Étrange, puisse exister un amour passible entre deux personnes à peine mûr pour définir ce qu'était réellement l'amour. Un jeune homme tout juste arrivé dans le milieu de l'adolescence. Et cette jeune fille, entré dans le monde des grands sans aucun réperts, elle prétendait aimer ce garçon alors qu'elle n'arrivait même pas à s'aimer elle. Les parents de Madelyne avait affaire. Il était temps pour eux de reparti. Des vacances qui touchent à leur fin. Les deux adolescents savaient qu'ils partiraient tout deux mais aucun ne s'étaient fait à l'idée. Ils n'étaient pas ensemble. Ils n'étaient pas un couple. Mais ils s'appartenaient, pendant ces deux mois. Madelyne courrait à toute enjambée à travers les champs verts d'Italie. Cette manifique campagne dans ce village égaré dans le sud, la où Madelyne et ses parents avaient hérités d'une maison familiale. Pas très loin de la résidence des Holland. Les hautes herbes chatouillaient la peau claire de Madelyne alors que le vent plaquait le tissus de sa robe légèrement fleurie d'un vieux beige contre sa peau. Ses long cheveux blond s'élançaient derrière ses fines épaules. Elle courrait si vite, tellement vite que ses yeux devaient se plisser pour éviter le vent. Ou alors était-ce à cause des larmes qui menaçaient de tomber des ses yeux émeraude. Sa vitesse a radicalement augmenté lorsqu'elle aperçu le corps fin et élancé de Harry, le garçon qu'elle aimait. Il était là, debout en plein milieu des champs perdus. Entouré et bordé d'arbre vert. Elle accéléra et se jeta complètement sur lui. C'était presque un saut, un saut qu'il réceptionna. Les pieds de la fille marchait sur ceux du jeune. Ansi elle pourrait atteindre la taille requise pour enrouler ses longs bras autour du coup de son amoureux. Sa tête plongeante dans le coup du garçon aux boucles. Alors que lui serra ses bras autour d'elle.

"Je pars" elle réussi vaguement à se faire entendre.

"Je sais" il parlait d'une voix qui se voulait rassurante et apaisante.

Allongés depuis presque une heure dans l'herbe verte. Tête contre tête et doigts entrelacés.

"Ne m'oublie pas" suplia d'un air clame la fille.

"Jamais"

"Promet le moi"

"C'est promis" son pouce caressait le dos de la main de celle qu'il chérissait tant.

"M'aimera-tu pour toujours ?" Il posait cette question sans connaître lui même la réponse qu'il lui aurait adressé si elle l'avait posée par elle même.

"Pour toujours" même si cette réponse était sincère, elle savait que elle ne pourrait jamais l'aimer de la même façon pour toujours. Elle n'avait que 15ans.

Alors que les deux adolescents parlaient des différents bouquins qu'ils avaient lu ensemble durent ces deux mois de vacances, la belle et ancienne Ferrari, de collection sûrement, s'arrêtait sur le petit chemin de terre un peu plus loin des deux. C'était le père de Madelyn, c'était l'heure, le moment. Harry savait qu'il ne pourrait même pas raccompagner cette jolie fille le reste du chemin qui les séparaient de l'homme dans la voiture. Le père de Madelyne n'aimait pas que ça fille fréquente un garçon. Après maintes tentatives de séparer sa fille de Harry, il a fini par abandonner.

"Nous partons Maddy" la voix de l'adulte criait pour se faire entendre au loin. Nous étions maintenant debout.

"Promet moi de m'écrire des que tu en a l'occasion" demanda la fille. Harry avait rit lorsqu'elle lui avait dit qu'elle n'avait pas de téléphone si même aucun appareil dans ce genre. Harry était tombé pour elle. La façon dont elle parlait, la façon dont elle pensait et imaginait les choses. La façon dont elle a réussi a lui faire aimer les littératures. Harry ne l'avait jamais avoué mais il s'était laissé convaincre grâce à la façon dont il pouvait l'observer lire, regarder ses doigts passer sur les pages alors qu'elle avait terminée de lire celles-ci. Il aimait tout ce qui ce rapportait à elle. Alors même s'il devait écrire des centaines de lettre chaque semaine, il le ferait. Et attendrait dans l'espoir de la revoir un jour.

"C'est promis Maddy"

"Je t'aime" continua-t-il. Elle se pencha et embrassa ses lèvres pour la dernière fois.

"Je t'aime" et c'est comme ça qu'elle partie.

Harry et Madelyne s'était écrit, chaque jours de chaque semaines, pendant des mois. Jusqu'au jour où la famille George doivent quitter le pays. Madelyne n'eu le temps de prévenir Harry et de lui donner une nouvelle adresse. Ansi, Harry lui écrivait sans retours. Les Georges avait, pendant le déménagement, égaré l'adresse des Holland. Harry, pour la première fois depuis des mois n'eu aucune réponse de la fille,puis les premières fois s'enchaînèrent et devenait des « chaque fois ». Après plusieurs semaines, il fini d'écrire sa dernière lettre.