Marchant droit, sur ses talons.
A travers les rues,
Les hommes la fixaient,
Se demandant si une beauté pareille était humaine.
Les femmes envieuse la critiquaient.JALOUSIE.
Elle, malgré son physique, n'allait pas bien.
Elle ne supportait plus les remarques et les lourds dans le métro qui agissaient tous comme des robots.
Elle avait peur des hommes.MENTALITÉ.
Son allure déterminée dans la rue.
Elle plaisait, mais garde a vous si elle vous invitait chez elle.
Elle aimé jouer avec les hommes, les choisissez un par un et le manipuler.JOUEUSE.
En réalité tout était un masque pour cacher ses blessures du passé.
Une fille frapper.
Une mère battue.
Une adolescente coincée dans la rue.
Une jeune femme torturé.PEUR.
Elle voulait se venger, des hommes.
Les hommes qu'elle choisissait n'étaient pas de vulgaires cobayes.
C'étaient des chiens, aboyant sur leur femme pour n'importe quelles raisons, qui bavaient sur toutes les filles, qui penser que toutes les femmes étaient les esclaves des hommes, qui prenait les filles pour des objets sexuel.HONTE.
Elle les torturait.
Elle les prenait tous pour des cons.
Sans ne tuer personne.
Ils se tuer tous pour elle devant ses yeux.
Elle aimé les voir se crevé pour elle.PSYCHOLOGIE.
Elle travaillait dans un bar.
Là bas les hommes sont les maîtres.
Sa prochaine victime.
Son patron.FOLLE.
Elle s'approcha de lui.
Lui caressa l'avant bras.
Il se prêta au jeu, il fut glisser sa main sur son dos.
Ils allaient tous les deux dans la remise.
Il commença à passer sa main sous sa jupe de travail.
Elle l'embrassait, tout en lui passant la main dans les cheveux.
Il se frottait à elle.
Il l'a déshabilla.
Elle se laissait faire.
Quand il ouvrit sa braguette, elle passa sa main et commença à lui procurer un plaisir immense.
Sa respiration s'accélèrait, elle en profita pour voler son porte monnaie.
Elle avait réussi.RÉUSSITE.
Avec tout l'argent qu'il avait elle s'acheta un sac Louis Vuitton ®, des parfum Dior® et toutes sortes de bijoux en or.
Le reste de l'argent elle le sortie en liquide, et le redistribua aux personnes dans le besoin.PLAISIR.
Elle se fit viré.
Mais lui se tua pour elle.
Il se d'un pont pour elle.
Il se noya pour elle.SATISFACTION.
C'est il suffisant ?
Non, bien sûr que non.
Les filles comme Elle en veulent toujours plus.
Elle leur faisait toujours le même coup et personne ne résister.BESOIN
Jusqu'au jour où elle tomba vraiment amoureuse.
Elle se rendit compte.
Demanda pardon, les supplier, leurs pleurer son regret, son envie de remonter le temps.REGRET.
L'homme qu'elle aimé ne lui faisait pas confiance.
Il l'ignorer de peur d'être tuer lui aussi.
Elle se tua pour lui.
Elle n'en pouvait plus.
Trop de regrets.
Elle se tira une balle.
Son corps s'écroula.
Inerte.Une/des vie(s) gâchée(s) ...
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SILENCE
PoetryUne chance. Ou une malédiction. Tous les hommes se retourner sur Elle. Elle était si jolie. Tous les hommes la désiré. Et les femmes l'envié. Toutes jalouses. Toujours une cigarette a la main, personne n'avait eu la chance d'avoir eu le droit a un r...