Je me réveille dans les bras de Harry. Il me regarde en souriant. Je l'embrasse doucement avant de me lever. Je regarde l'heure et soupire.
- Qu'est ce qu'il se passe bébé ? me demande Harry
- Dans une heure on mange au restaurant avec Lorie et Josh.
- Tu veux faire semblant d'être malade ?
- Proposition intéressante mais non, Liam et Bonnie m'en voudraient trop. Puis te laisser y aller seul avec cette pute ? Non merci.
Harry rigole et m'embrasse.
- Aller va te laver tu pues, lui dis-je en souriant
- Ah bah merci du compliment. J'y vais oh grande reine de mon coeur.
Cette dernière phrase me fit éclater de rire. Je cherchais désesperement dans mon armoire ce que j'allais bien pouvoir porter. Quelques minutes plus tard j'en tirai une robe blanche.
Je partis rapidement me preparer.
Je rejoignis tout le monde en bas, Liam et Harry jouaient à la Xbox et mon père était en train de lire le journal.
- Bonjour Papa.
- Bonjour ma puce. Tu as bien dormi avec ta peluche géante ?
Il se mit à rire avant de me prendre dans ses bras.
- Tu mérites d'être heureuse ma fille.
- Toi aussi papa, tellement.
Je partis rejoindre les garçons. Je remarque rapidement l'absence de Louis.
- Il est déjà allé rejoindre Bonnie ?
- Non, Nate lui a proposé d'aller voir un match de hockey ce matin.
- Ça sent mauvais pour lui. Connaissant Nate, il va avoir le droit à un interrogatoire corsé suivit de menaces.
Liam hocha la tête. Mon père nous annonça qu'il était temps de partir. Je n'avais vraiment pas envie.
Devant le restaurant, je commence un peu à stresser.
Harry met sa main dans mon dos m'encourageant à entrer.
Je vis Bonnie, Nate, Louis et les parents de Bonnie déjà installés. Après leur avoir dit bonjour je m'installai entre Bonnie et Harry.
- Prête à affronter Lorie et Josh ? me demanda Bonnie.
- Hm.
Lorie, Josh et leurs parents arrivèrent quelques minutes plus tard. Comme par hasard, Lorie s'installa juste en face d'Harry.
Harry vit mon regarde noir et me chuchota un "Je t'aime" à l'oreille. Je souris et l'embrasse. J'entendis un "Beurk" venant de Lorie mais je pris la décision de ne pas y faire attention. Le repas se passe dans un silence religieux du côté de notre table.
Harry a sa main posé sur la cuisse. Je sais qu'il fait ça pour me montrer qu'il est là et j'en ai besoin. Lorie pose sa fourchette dans son assiette et me regarde avec son regarde de garce.
- Alors Victoria, comment vas tu depuis que tu t'es fais baiser dans les bois ?
Je pose ma fourchette et lui lance un regard glacial me retenant de ne pas lui foutre mon poing dans la gueule. C'est tout ce qu'elle mérite après tout mais bon je vais la jouer comme elle.
- Et toi comment vas tu depuis que Bastien t'as avoué qu'il en avait rien à faire de toi que tu étais seulement un moyen de se rapprocher de moi ? Tu ne l'as pas trop mal pris j'espère ? lui répondis-je
Elle me lance un regarde furieux, j'étais fière de ma réplique.
- Je me demande ce qu'ils peuvent te trouver, cracha t-elle
- Oh et bien moi je n'écarte pas les cuisses des qu'un gars me plaît je n'ai tout simplement pas besoin de ça pour les attirer contrairement à toi.
Elle se lève et je fais de même. Tout le monde nous regardait sans oser parler, choqué. Je le savais depuis le début que ça allait dégénerer.
- Tu as toujours été une salope, manipulatrice et populaire ! cria t-elle
- Et toi tu as toujours été une gamine pourrie gaté, jalouse de moi. Tu sais quoi Lorie ? Je crois que tu n'as pas compris une chose. Je ne jouerai jamais avec toi à ce jeu. Tu peux continuer à gacher mes relations, tu peux cracher sur mon dos si tu n'as que ça à faire de ta vie, j'en ai rien à foutre ! Je ne jouerais jamais avec toi.
Je me retournais et partis. Je ne pouvais pas rester une seule seconde de plus en sa présence.
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Voilà le chapitre 21 :)
Vous en pensez quoi ?Bonne journée. #AC ♡
#17.05.15
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I'm different.
FanfictionLa vie n'est pas toujours ce que l'on pense. Du jour au lendemain tout ce que l'on a construit peut s'éffondrer. Une chose n'est jamais complétement acquise, surtout lorsqu'il sagit du bonheur. La vie Parfaite de Victoria Payne n'était qu'une douce...