Troisième partie: Le courage et la force chapitre 1: Kidnapping

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Troisième partie: La force et le courage

J'avais pris ma route pour rentrer chez moi tout à coup j'avais vu une voiture 4×4 aux vitres noirs. Cela ressemblaient aux vitres où on pouvait voir à l'intérieur mais pas à l'extérieur. La voiture était à côté de moi, je pensais qu'il me suivait. un homme aux moustaches qui avait un tampon sur l'épaule gauche, il était gros et monstrueux, le monsieur ressemblait à un voyou.

Il me dit: Enfant, tu connais la maison de Simon .

Je me rappelais très bien de ce que j'avais entendu à la télévision, Dans cette période, il y avait plusieurs kidnappeurs d'enfants et c'était comme les termes qu'ils utilisaient pour nous attraper dans leurs filers. C'était le portrait de ce que j'avais entendu que le plus souvent les kidnappeur utilisaient des voitures 4×4 et ce type ressemblait à un bandit, j'avais trop peur. voulait-il me kidnapper?

Je lui répondis: Non je ne connais pas sa maison.

Quand j'avais dit cela, j'avais tout de suite commencé à courir. Ces hommes étaient à ma poursuite, ce que j'avais pensé était vraie l'homme était un kidnappeur et il n'était pas seul, il y a avait d'autres hommes aux cagoules. Les kidnappeurs couraient après moi. Dans cette zone, je ne voyais personne. J'avais crié au secours, à l'aide mais personne ne m'avait entendue .
Je fais un faux pas quand une pierre me bouscula.
J'étais tombé ces malfaiteurs m'avaient attrapé, je continuais de crier à l'aide mais personne n'était venue me sauver. Ces voyous avaient mis du mouchoir qui contenait de la drogue sur mon nez ensuite je me suis évanoui.

Lorsque je me suis réveillé, j'étais dans une pièce énorme qui ressemblait à une porcherie ou comme une prison. La sortie était comme des barrières d'une prison, seul y contenait trois sauts d'eau et deux chaises avec une dizaine d'enfant. Les enfants étaient trop sals, c'était comme ci ils n'avaient pas pris de douches pendant des mois, ils y avait ceux qui criaient, ceux qui était calmes et silencieux comme ci ils étaient traumatisés et ceux qui dormaient. Nous étions assises sur des cartons. L'endroit contenait de la saleté, ce n'était pas approprié pour des enfants, il y faisait trop chaud et nous transpirions.

Les enfants criaient trop fort ce qui énerva le bandit encagoulé, on ne voyait de lui que ses yeux et sa bouche il avait aussi un tatouage sur l'épaule gauche mais ce n'était pas celui que j'ai vu en premier son tatouage. Celui ci était plus grand et plus costo, sans doute la marque signifiait leur alliance, il nous menaça d'arrêter de pleurer sinon ils nous tuerons nous tous. Ces hommes n'avaient pas de cœurs, ils n'éprouvaient aucun sentiment, comment pouvaient il faire ça à des enfants innocents, des enfants de Dieu.

Les kidnappeurs n'avaient aucune compassion, j'étais terrifié de ce que pouvaient ils nous faire. Après avoir kidnapper des enfants, ils vendaient des parties de leurs corps aux personnes qui ont du pouvoir .
Par exemple si quelqu'un qu'ils sont parenté   est malade comme une maladie de cœur ils achèterons nos cœurs pour les remplacés avec celle de leurs familles.

Ces voyous vendrons nos cœurs ou ils nous vendrons à l'étranger et nous travaillerons comme des esclaves, des filles même qu'ils forceront à se prostituer ou ils changeront la couleur de nos peaux et nous créer de fausses extraits de naissances pour qu'on ne nous reconnaissent pas. Je pense même que c'est de la faute de ses malfrats que beaucoup de choses ne sont pas encore décentralisées au Sénégal il as des procession  à suivre pour que cela devient plus sûr .

La vie des enfants, nos vies sont plus précieux que tout cet argent sal. Je devais trouver quelque chose pour nous enfuir sinon on risquera de subir le même sort que nos frères et sœurs disparus.

Le soir les enfants ne dormaient pas car j'avais un plan oui une idée pour nous échapper, je savais que c'était risquée mais sinon on risquait de mourir bientôt. La mission était en exécution, quand un des kidnappeurs était venu nous voir, sans doute pour vérifier est-ce que tout aller bien. En entrant je l'avais vu mettre son téléphone portable dans sa poche droite, j'avais fait semblant de vouloir aller au toilette, lorsque moi et le bandit était revenu les autres enfants commençaient à crier en même tant que moi en disant de nous laisser retourner dans nos famille comme c'était prévu et nos cries perturbaient ce voyou, je me suis collé à lui, j'avais profité de ce moment pour prendre son téléphone portable sans qu'il ne s'en rend compte de rien et je l'ai mis tout de suite dans ma poche. Le faite que je me suis collé à lui en criant l'avait énervé il me donna une gifle, j'avais trop mal. Pour éviter d'être torturer comme moi, les autres enfants se sont tuent. Lorsque le kidnappeur était parti, nous avions déjà son téléphone c'est bien de parcœriser  le numéro de nos proches en cas d'urgence .

Le combat des élèvesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant