Ma Muse (Émily Dickinson)

Prologue

Voici le début j'ai pour l'instant encore 2 chap en réserve
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Qui suis-je? La question ne se pose pas comme je ne connais même pas la réponse. Je suis une fille de 17 ans. Passionné par la poésie. Qu'est-ce que je fais de mes journées? J'écris encore et encore. Pas n'importe quels écrits. Des poèmes. En cachette j'écris. Dans l'ombre j'écris .Des fois j'écris aussi sens le vouloir,  dans l'ombre de moi même, dans l'obscurité où l'esprit laisse passer toute nos tourments sauf qu'au lieu de les garder pour moi, mon bras s'allonge pour prendre, une feuille un morceau de papier quelconque, qui ne se trouve jamais trop loin, et ma main dessine en des vers la face caché de tous mes démons. Mon inspiration je la dévoue à la mort qui est au final mon seul alliers dans ce monde où la vie elle même est bien trop dur avec moi. La mort à côté n'est qu'un souffle de bonheur qui vient qui part sans jamais rien demandé. Des fois la tranquillité de celle-ci me fait envie. Ce silence cette espace pour écrire sans interruption. Ici la vie n'est qu'un vacarme assourdissant. Je vis avec ma famille. Ma petite  sœur mon allié Livinia, accompagné de mon grand frère Austin. Mais également ma mère essayant déjà de me marier avec qui l'importe, juste que je puisse être une femme de maison comme elle et sa sœur. Puis pour terminer mon père le revenu de la maison, notre père à tous et dans des jours plus sombres la personne responsable des jours sombres en mon esprit. Il lui ai déjà arrivé de me frapper. Une giffle, deux peu m'importe. Pour lui une femme n'est pas en droit décrire, d'être publier. Et pour l'instant c'est hélas mon seul objectif, ma seule raison de vivre. Être reconnu en t'en que poète, être comprise, voir la fierté dans les yeux de mon père au moins une fois mais je ne pense pas que cette manière lui conviendra. Et malheureusement pour lui ou pour moi c'est la raison pour la quel je respire, je vis , m'anime.
Mes proches ne me comprenne pas vraiment pourquoi cette passion soudaine pour une plume, de l'encre,  des mots inscrit sur un bout de papier. "Ce ne sont que des mots en quoi cela va te trouvé un mari". Mais leur problème c'est qu'il ne comprenne pas le sens de ses mots réuni ils n'ont pas cette voix qui les guide jusqu'à ce que le chemin puisse enfin s'éclairer vers ma porte de la connaissance. Les mots ont un pouvoir. Le pouvoir de nous faire voir les choses que nous ne voyons pas. Le pouvoir de comprendre ma folie comme dirait mon père. "Emily tu es folle" je ne compte même plus le nombre de fois où j'ai entendu cette phrase passer comme un vent sec se laissant échapper des lèvres de mon géniteur. Je ressens un vide qui m'anime mais se vide ,quand j'écris il se remplit, puis se vide dans mes écrits et en les relisants le bonheur sois-disant infime sois-disant démesuré me fais vibré.  C'est cette voix que je veux et je sais où je veux la mener.