pardonne moi

69 2 0
                                    

Chapitre 18

(pov de chishiya)

Je Vien de finir mon jeu elle était la-elle m’attendais elle me tend sa main et ont marche vers le centre de Shibuya quand elle se mit à ralentir  

Chishiya- ont et presque arriver plus que deux jeux et ont aura fini tu te rends conte

Kokoyo- Chishiya et si je n’y arrive pas 

Chishiya- de quoi tu parle

Kokoyo- je ne sais pas si je peux continuer à tuer autant de gens ses difficile

Chishiya- ta tuer trop de gens pour renoncer maintenant, si ce n’est pas pour toi fait le pour moi survie pour moi

Kokoyo- ont dire une réplique de vieux film romantique qu'un mec dit avant de l’embrasser 

Je la regarde je me rapproche doucement posant mes mains sur ces anches je le voie rougir elle devient écarlate je rapproche me lèvre des sien je finis par l’embrasser mes mains remonter vers son cou j’aurais voulu la garder près de moi pour toujours mais je finis par décoller mes lèvres des sien lentement ma corp se détache du sien je la voie s’agripper a moi j’aurais voulu sourire 

Kokoyo- ne part pas reste 

Chishiya- d’accord mais serre moi vers je me suis pris un coup de couteau à cet endroit

Je les entendu lâchais un rire il était réconfortant elle aurait pu rester comme ça pour toujours.

Elle se détache de moi sont regard planter dans le mien comme du ciment c’était mieux que de l’embrasser elle a des yeux qui ressemble à un ciel au crépuscule. 

Arisu- Chishiya 

Chishiya- Arisu

Kokoyo- je reviens Chishiya je dois aller trouver un truc donne-moi 10 minutes

Elle partit dans une ruelle je pense qu'elle ne voulait pas voir Arisu 

Arisu- chishiya 

Chishiya- il ne reste que deux jeux.  Les joueurs se rassemble à Shibuya.  Je me doutais que tu étais encore vivant.  

Arisu- tu sais, tu as beaucoup changé. 

Chishiya-tu trouve ?

Arisu- oui. Tu t’es adouci. 

Chishiya- adouci ? J'ai traversé pas mal d’épreuves.  Alors Arisu, je peux t’avouer quelque chose que je n’ai jamais dit à personne ?

Arisu- je t’écoute. 

Chishiya- je 

Une balle me transperce je tombe sur le sol  

Niragi- salut putain, je suis content de vous revoir !

Arisu- Niragi !

Chishiya- Tu as raté mes organes vitaux exprès ? 

Niragi- je ne peux pas vous tuer par surprise !  

Il finit par nous propose un jeu je pris le fusil qu'il ma cheter puis me rue derrière une voiture  

Chishiya- aller Arisu ont à des contes à régler non 

Il finit par faire un discoure à la Arisu d’habitude ils ne me vont ni chaud ni froid mais là je me sentie toujours par ce qu'il a dit puis Usagi et arriver il allait luis tirer dessue alors je me suis mis devant elle prise la balle a sa place encore une voit je me senti tombais au sol quand cette vois résonna dans ma tête  

Kokoyo- Chishiya Chishiya ne me fait pas sa tu m'as promis Chishiya je te pardonne d’accord je t’aime Chishiya réveille toi 

Chishiya- tu ne trouves pas le je t’aime précipiter un peu 

Kokoyo- tu m'a fait peur  Shuntaro 

Arisu- Désoler de vous interrompe mais Chishiya tu voulais dire quoi 

Chishiya ah oui... Je considérais les gens trop sérieux comme des idiots.  Ces gens qui se donnent tant de mal je voulais leur mener la vie dure. Leur bonne volonté me dégoutait.  Mais je devais être jaloux. Ils avaient quelque chose que je n’avais pas. J’ai toujours eu l’impression qu’ils me critiquaient parce que j’étais vaniteux et vulgaire. Ils m’effrayaient. 

Arisu- je comprends. 

Chishiya- je savais que tu dirais ça, Arisu.

Nigari- les fusils de chasse ne sont pas très efficaces pour tuer. Même par erreur ne dites pas que j’étais le méchant. Ce serait vous, les méchants s’il y avait sept milliards de personnes comme moi. Vous avez la chance de faire partie de la majorité.

Mes yeux lutter pour rester ouvert Kokoyo m'avait adossé cotre une voiture je luis souri

Kokoyo- pourquoi tu souri ?

Chishiya- stoïque jusqu'à ma mort

Je vois une larme coulait sur sa joue je l’essuis à l’aide de ma main j’ai mal très mal si je dois mourir je veux qu'elle soit la juste accoter de moi et quelle me tien la main.  

Chishiya- tu sais ton nom me fait penser a kokkyo sa veux dire frontière comme le bordeland 

Kokoyo- mes parent devait aimait les frontières des diffèrent pays. 

Chishiya- ne reste pas la vas les aider reviens après le dernier jeu

Kokoyo- et si tu n’es plus la Chishiya je ne veux pas te laisser

Je m’approche d’elle et l’embrasse ces lèvre réchauffer le mien complètement glacer elle referme mes mains entre les sien *je suis fatiguée de me battre* 

Kokoyo- reste en vie jusqu’au dernier jeu promet le moi

Chishiya- promis Kokkyo

Je ne suis pas sûr de pouvoir tenir cette promesse mais je vais essayer pour elle.

Kokoyo Bordeland Où les histoires vivent. Découvrez maintenant