La voie d'Eywa [BxB]

Pandora 5

Les chevaucheurs avaient quittés le récifs tôt. Ils devaient aller repérer les camps des hommes venant du ciel et leurs armement. Mais Neytiri s'en faisait toujours, Jake n'était toujours pas revenues. Et cela la tracassait de plus en plus. Mais elle ne laissait rien paraitre, s'occupant des nouveaux arrivant. 

Tsireya aidait les guerriers à terminer leurs installations. La plus part des hommes étaient partis en mer chasser, tout comme Lo'ak. Elle ne lui avait pas adresser la parole depuis hier, elle ne voulait même plus entendre le son de sa voix. Elle s'était accouplé avec lui, pour apprendre quelques heures plus tard qu'il en avait embrassé une autre. Au fond, elle était dévasté, mais elle ne laisse rien paraitre. Son grand frère a décidé de ne pas aller chasser, lui donnant un coup de main au camps des guerriers. Peu de personnes se trouvent dans le camps à cette heure ci. Aonung sursaute quand un petit corps saute sur dos. L'enfant rigole avant de faire face au Na'vi à la peau clair. L'enfant à la peau couleur cendre, il est tout jeune, et ne parle pas encore. Il prononce des sons sans prononcer un mot correct. 

-Zolay, souffle une voix d'homme avant d'attraper le petit corps de l'enfant. 

-Pourquoi ne pas avoir laisser l'enfant avec sa mère, lance le plus clair à l'homme. 

-Il n'en a pas, réplique aussitôt le guerrier. 

Aonung fronce les sourcils. 

-Je suis l'Ocy du chevaucheur de volcaya, explique le plus foncé.  

Le Na'vi de l'eau incline la tête sur le coté pour montrer son ignorance face au nouveau mot.

-Le partenaire lié du chevaucheur, argumente t il pour aider Aonung à comprendre. 

-Vous êtes un homme, et vous êtes liés à autre un homme ? 

Le Volcaya hoche la tête avant de regarder son enfant qui commence à s'endormir contre lui. 

 -Eywa l'a voulu comme ça. Et personne ne s'oppose au volonté de la grande déesse, il termine en faisant un signe de tête au plus clair. 

Aonung rejoint sa soeur, qui est assise au bord de l'eau. 

-Tu savais pour les Ocy ? Il demande en se tournant vers Tsireya. 

-Oui, maman m'en a vaguement parlé, répond t elle. Si les chevaucheurs ne trouvent pas leur Ocy, à la fin du kaos, il mourra. Elle ajoute en regardant son frère. 

Aonung hoche la tête. 

-Tu devrais parler avec Lo'ak, je pense qu'il est celui don tu as besoin, il souffle en regardant le ciel ensoleillé. Je pense qu'il ne l'a pas embrassé, c'est plus tôt l'inverse qui sait produit. 

-Comment tu sais ça? 

-Je le sais au fond de moi, termine Aonung.

A la nuit tombée, Aonung admire le ciel depuis la plage, à l'écart du campement et des habitations. Il admire la beauté du récifs, ses doigts jouant avec le sable fins. Jake était rentrée plus tôt et comme tout les chevaucheurs, il avait les yeux argenté maintenant. Neytiri lui avait sauté dans les bras, Aonung ne serait pas surprit d'apprendre que Tuk serait bientôt grande sœur. Les krafors maktos, eux, étaient rentrées un peu plus tard dans la soirée. Les chevaucheurs étaient vite parties se coucher auprès de leurs Ocy, seul un chevaucheur vagué sur les barrières du récifs observant l'océan. Aonung n'est pas très lion de lui à la nage, mais il se résout à ne pas y aller, surtout qu'un guerrier le rejoint, faisant grogner silencieusement le plus clair.  Ses oreilles sont plaqués en arrières et si il n'était pas assis, sa queue battrait l'air. Il se mord la lèvre pour faire partir se sentiment de tristesse qui l'envahit quand le chevaucheur plonge avec le guerrier.