- Va-t-en ! Cours ! Maintenant ! Je sors de l'armoire et cours de toutes mes forces jusqu'aux marches de l'escalier. J'attends l'arrivée de ma mère pour que nous nous enfuyions ensemble, mais elle n'est toujours pas là, je ne sais pas quoi faire, pourtant elle m'a formellement interdit de rester ici si elle ne venait pas, mais je ne veux pas partir sans elle. Alors, j'attends 2,3,7,9 secondes qui me paraissent être une éternité mais rien, toujours aucun signe de sa silhouette fine. Je me retourne alors pour retourner là oû j'étais il y'a 5 minutes. Je m'avance doucement vers le couloirs peut éclairé. Mon coeur rate un battement en voyant un corps inerte sur le sol devant le pas-de-porte de ma chambre, je m'approche lentement en éloignant la possibilité que ce corps appartient à celui de ma mère.Ce n'est pas elle, ce n'est pas elle, ce n'est pas elle, ce n'est pas elle. À chaque pas que je fais, je me répète cette phrase dans l'espoir que ce ne soit pas elle. Lorsque des traits apparaissent peut, a peut devant moi, je comprends que c'est elle. Ma mère.
- Non, non, non. ! Reste avec moi. J'ai besoin de toi. Ne m'abandonne pas, pas maintenant. S'il te plaît. Je m'écroule les deux genoux au sol. Mes deux mains sur chaque joue. Ma vision devient sombre, mes pensées se bousculent sous les milliers de souvenirs que nous avons vécus. Un orage de mes larmes s'abat sur son doux visage.
-S'il te plaît. Marmonnais je tant bien que mal.
Lorsque je lève mon visage vers le siens je remarque que ses boucles sont comme celle d'il y'a 5 ans lorsque je m'amusait encore a enrouler mes doigts dedans toujours avec le même doux parfum de framboise. Ces yeux sont ceux de ce matin, brillant. Lorsque je lève mon visage vers le siens, je remarque que ses boucles sont comme celle d'il y' a 5 ans lorsque je m'amusait encore à enrouler mes doigts dedans toujours avec le même doux parfum de framboise.
Je dépose ma main sur sa joue. Son teint est devenu plus pale que ce matin, plus froid. Mais sa joue reste celle dont j'ai embrassé plus d'un million de fois.
- Je t'aime. Répétais je près de son oreille. Je dépose un dernier baiser sur sa joue et me lève, mes larmes menacent de réapparaître, mais je les ravale n'oubliant pas la promesse que je lui avait faites. Pour elle. Je descends les escalier en fessant le moins de bruit possible, j'observe ce qui m'entoure a l'attente d'un bruit, mais rien, les tableaux accrocher sur le mur sont toujours là, la fleure mauve n'a pas cesser de fleurire, le tapis qui jochent sur le sol est toujours comme à son habitude sans aucune miette, la télé sans pousiere, les armoirs avec les assiettes en porcelaine n'a pas bouger depuis le dernier repas. Tous semblent comme a son habite, mais rien ne sera plus jamais comme à son habitude. Je me dirige vers la porte pour sortir mais lorsque je pose ma main sur la poignée un bruit derrière moi retentit. Je me retourne très lentement, un couteau à la main caché derrière mon dos. Un homme me regarde avec un calibre a la main.
-Tu comptais aller ou comme ça m'a jolie . Sa voix est rauque, intimidante mais ce qui attire mon regard ce n'est pas ça voie mais c'est habit noyé de rouge. Et si c'était le leur . Sans plus pouvoir réfléchir plus longtemps il s'approche de moi ni trop rapidement ni trop lentement toujours avec son arme a la main.
- Je dois finir mon travail, tu sais j'aurais préféré faire autre chose avec toi mais je n'ai pas le choix. Je n'ose pas imaginer les pensées perverses qui me sont destinées lorsqu'il parcourt des yeux mon corps en s'attardant quelques secondes sur ma poitrine
-Je suis désolé. Rajoute il.
Lorsqu'il s'apprêtait à tirer je me suis jeté sur lui avec mon couteau à la main, je lui donne un coup de poing au ventre, un aux parties génitales et il s'écroule sur le sol. Je m'abaisse vers lui et lui hurle dessus.
- Ça c'est pour ma mère ! je le poignard au bas du ventre. il sort un bruit étouffé.
- Ça c'est pour mon père et mon frère ! Je lui poignard les deux jambes. Son souffle est devenant irréguliers.
- Et ça c'est pour moi. Je lui poignard une dernière fois aux parties intimes. Son cœur a accéléré le rythme, les hurlements quil à émit-il y a 5 minutes ont cessé, ces yeux ce ferment peut à peut.
Mes habits sont aussi tachés de rouge. De son sang. Ça aurait pue m'effrayé mais ça ne m'effraye pas. Je sens juste un poids partir.
Je me lève enfin et me dirige vers la porte mais le bruit du calibre reffet surface je n'ai même pas le temps de me retourner complètement que je sens uns vive douleur sur l'omoplate.
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87 mensonges insaisissables
Jugendliteratur7 Décembre, cette date, cette journée, je n'aurais jamais voulue la vivre. Nouvelle vie,nouvelle ville, nouveaux amis, nouvelle maison,nouveau lycée. Qui aurait cru, moi la bad girl partir. Qui aurait cru, moi la bad girl changer. Qui aurait cru,mo...