Imagine, S/P

~nourriture~

TW : TCA
Tu vas mangé chez ton copain, mais il ne t'as pas prévenue de la visite de ses parents le jour même, tu décides donc de porter une robe assez courte avec un décolleté plongeant. Tu arrives chez lui, tu toc en t'attendant à lui sauter dans les bras et l'embrasse. Mais c'est son père qui vient t'ouvrir.
S/pe (son père) : vous êtes ?
T/p : oh...hum... Bonjour monsieur, je me présente, je me nomme t/p et je suis la copine de votre fils.
En entendant ta voix t/p vient pour t'embrasser.
S/p : salut mon ange, désolé je ne t'ai pas entendu toquer. Tu as déjà fait la connaissance de mon père a ce que je vois. Papa, je te présente t/p, ma copine.
Il met ses mains sur tes hanches pour te tirer a l'intérieur de la maison. Il veux te retirer ton gilet, mais tu lui dit que tu es très peu couverte. Il accepte ton choix et te présente à sa mère. Les présentations se passent bien, tu discutes avec ces parents pendant une bonne heure. S/p t'appelle dans la cuisine.
T/p : excusé moi, s/p m'appelle. Je reviens tout de suite.
S/PE et s/m : pas de soucis t/p
Tu te dirige vers la cuisine.
T/p : oui mon chéri ?
S/p : tu peux retirer ton gilet, mes parents ne viendront pas dans la cuisine si c'est cela qui t'inquiètes.
Tu retire donc ton gilet car tu avais vraiment chaud. Tu lui demande pourquoi il t'a appelé.
S/p : j'ai préparé le dîner, mais surtout ne culpabilise pas après avoir mangé, je t'en supplie t/p. Si tu ne te sens pas capable de manger tu me préviens avec un regard ou je ne sais trop quoi. Même si tu sais déjà que tu es magnifique.
Tu souris gêné, tu ne te trouve pas belle suite au harcèlement que tu as vécu et aux insultes que tu as reçus étant plus jeune. Tu le remercie, mais tu ne voulais pas que ces parents te trouve bizarre en ne mangeant pas le repas qu'il avait préparé.
T/p : et tes parents; ne vont ils pas me trouvé "bizarre" ?
S/p : je vais te dire quelque chose. Mais ne te met pas en colère t/p...
Tu commence a avoir peur, déjà qu'il n'utilise pas t/p dans les conversations mais plutôt des surnoms...
S/p : j'ai dit à mes parents que tu avais des TCA, donc ne t'inquiètes pas pour ça.
Tu baisses la tête de gêne, tu ne voulais pas que ses parents soit au courant, tu ne voulais pas qu'ils te fixent lors du repas. Tu remercie s/p pour son geste qui paraît d'une bonne attention.
Tu retournes dans le salon pour continuer la discussion avec ses parents. Tu arrive devant le salon et les entends parler. D'habitude tu n'es pas du genre à écouter au porte, mais tu eus un pressentiment qui t'y forças...
S/m : tu penses qu'elle aime notre fils ?
S/pe : mais bien sûr que oui.
S/m : tu pense que notre fils est a la hauteur ?
S/pe : et bien oui, pourquoi cette question ?
S/m : cette jeune fille a des problèmes avec la nourriture, je ne sais pas si s/p arrive à l'aider...
Tu entres dans la pièce, les deux te regarde et tu t'assois dans le fauteuil en face d'eux. Vous discutez un moment puis s/p vous appelle pour manger. Vous vous dirigez dans la salle a mangé. Lorsque vous êtes assis, s/p commence à vous servir.
S/p : j'espère que ça vous plaira.
S/m : merci, cette portion me convient parfaitement.
S/pe : merci mon grand.
T/p : merci mon amour.
S/m te dévisage, son mari lui pose la main sur sa cuisse pour lui dire de se calmer. Mais elle parle quand même.
S/m : tu ne manges que ça ma pauvre ?
Tu deviens rouge et fixe ton assiette. D'habitude tu n'aurais pris que la moitié, mais tu voulu faire un effort devant ses parents.
T/p : veuillez m'excuser...
Tu sorti de table et te dirigea vers les toilettes. S/p vient toquer à la porte après une dizaine de minutes.
S/p : ouvre moi t/p, s'il te plaît...
Tu ouvris la porte, il te sera sans ses bras et te demanda si tu te sentais capable de retourner à table, tu acceptas et il te pris le bras pour que tu le suive. Mais il sentit ton bras différent de la dernière fois. Il te demandes de relever ta manche, tu sais déjà ce qu'il va te dire.
S/p : mais t/p... Tu m'avais promis de manger...
T/p : je sais... Mais je n'y arrive pas...
Tu baisses la tête assez déçu de ne pas avoir tenu ta promesse. Il te releva la tête à l'aide de son index.
S/p : ce n'est rien, vient manger maintenant, même si tu ne finis pas ton assiette. Et j'ai parlé à ma mère, elle ne recommencera plus.
Tu le suivit a table et t'excusas d'être sortit de table. Il en dire pas un mot à cette excuse. S/p engagea la conversation.
S/p : vous aimer le dîner ?
S/pe : oui c'est délicieux, bravo.
S/m : oui, je suis d'accord avec ton père. Qui t'as appris à cuisiner comme cela ?
Tu levas la tête de ton assiette et ils te regardaient, tu te senti gêné mais tu savais que c'était un genre de compliment. Tu souris légèrement.
S/p : mais c'est aussi une recette que j'ai trouvé dans un carnet qui était dans mes cartons quand j'ai pris mes affaires pour emménager ici. Je les ai juste modifier a fin qu'elles soient moins calorique pour madame.
Vous finissez de mangé en enchaînant les petites discussions. Les parents de s/p rentrèrent chez eux, mais tu ne te senti pas capable de prendre la route car tu était trop fatiguée. Tu demandais à s/p pour rester dormir.
S/p : bien sur que tu restes dormir, je ne voudrais pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Tu souris et enfila un t shirt a s/p en guise de pyjama. Tu te couches dans le lit en l'attendant. Une fois qu'il arrive vous discutez de tout et de rien. Arrivé là conversation que tu redoutais le plus : le dîner...
S/p : tu ne regrettes pas trop ce que tu as mangé ?
T/p : je trouve que l'assiette était assez grande mais ça va. Tu cuisines vraiment bien.
S/p : c'est toi qui m'a appris.
T/p : je vais au toilette avant de faire dodo, attends moi.
S/p : non t/p, je te connais tu vas te faire vomir. Tu reste ici, on va dormir tout de suite comme ça tu n'auras pas le temps de culpabiliser.
T/p : mais s/p... Tu sais que je suis déjà assez grosse et que je ne peux pas rester avec toutes ces calories dans mon corps...
Il te serra dans ses bras et te chuchota que tu était la fille la plus belle qu'il n'est jamais vu. Tu t'endormies, a bout de forces, en acceptant que tu ne seras pas parfaite. Mais que ton copain t'aime et cela te rend heureuse.