LOVE AND PIRACY

Chapitre 1

Meredith Dias
14 mars

Le vent frais balayait mes cheveux pendant que je courrai pour échapper au marchand ,que j'avais volé il y a à peine quelques minutes, qui me courrai après

Je n'aurai peut-être pas du voler autant de pains.

— Reviens ici, sale ingrate !

Bousculant plusieurs paysans sur mon chemin, je passai dans plusieurs petites rues pour essayer d'échapper à mon poursuiveur.

Balançant plusieurs objets pour le retarder, j'arrive à partir en montant sur les toits des maisons. Je rentrai chez moi et retrouvai mes parents, allongés sur le canapé.

— J'ai du pain ! Annonçais-je.

— Meredith... si quelqu'un te surprends, tu risques d'aller au cachot. Ou pire, de te faire tuer...

— Je sais. Mais je ne me suis pas fait attraper, c'est le principal.

Ma mère soupira alors que je leurs souriai innocemment.

Je savais très bien que mes parents s'inquiétaient pour moi. Ils avaient peur que je me fasse enfermer ou tuer.  Mais je n'avais pas trop le choix, si je veux qu'on survive, il fallait que je le fasse.

Je me rendais dans la cuisine pour faire chauffer des pommes de terre à l'eau, que je sers ensuite à mes parents. Mon père toussota légèrement.

— Boit ça papa, ordonnais-je doucement à mon père en lui tendant une boisson à la couleur verdâtre.

Mon père le prit de ses mains tremblantes et l'approcha de ses lèvres pour le boire.

Après avoir vérifié que mes parents aient prient leurs soins et finit leurs assiettes, je suis allez dans la pièce qui me sert de chambre.

Elle contient seulement un petit matelas à même le sol et de deux étagers sur le mur pour mettre le peu de vêtements que j'ai.

Alors que je m'allongeais sur le matelas, je vus un rat passer dans le fond de la pièce.

Ah, c'est nouveau ça

Un soupire traversa la barrière de mes lèvres alors que je fermais les yeux. Je m'endormis à peine quelques minutes plus tard.

Il faut dire que cette journée a été très épuisante.

°°°°

J'étais en train de boire ma bière pendant que mon meilleur ami, Archibald, me raconte à quel point son père le force à devenir un grand guerrier. J'apportai la tasse à mes lèvres pour en boire une gorgée, en étant toujours concentrée dans ce que me racontai mon ami.

— Franchement... je ne comprends pas. Il voit très bien que ça ne m'intéresse pas mais il s'obstine à vouloir me faire faire ces foutus entraînement ! S'exclama mon meilleur ami.

— Je pense que ton père veut seulement ton bonheur. Et même s'il n'arrive pas totalement à l'interpréter, il veut uniquement que tu sois heureux.

— Bah il ne connait pas trop la définition de bonheur.

Je levai mes yeux au ciel, un léger sourire aux lèvres en entendant les paroles d'Archibald.

Des cris se firent entendre à l'extérieur du bar dans lequel nous étions, j'échangeai un regard avec mon meilleur ami, puis, nous nous dirigèrent tous les deux vers l'extérieur pour savoir d'où venait tout ce boucan.