𝐌𝐀𝐈 𝐄𝐓 𝐋𝐄 𝐒𝐇𝐈𝐍𝐈𝐆𝐀𝐌𝐈 ▶︎ƒιяє ƒοяϲє

Démon (Lemon)

An 198

Tsukiko regardait la télévision aux côtés des jumelles de la 7ème Brigade.

- Tsuki. Elle est où Mai ? Demanda Hinata.

- Mai est partie rentrer chez elle. Elle devra y passer quelques temps.

- Je m'ennuis, fit Hikage. Et j'ai faim.

- C'est vrai, moi aussi ! Dit sa jumelle.

- Si vous voulez, on peut faire un flan au chocolat toutes les trois, vous en pensez quoi ? Proposa Tsukiko aux plus jeunes.

- Va pour le flan ! Crièrent les jumelles.

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Mai se tenait devant la porte de son appartement. Elle aurait aimer rester à Asakusa avec Tsukiko et les jumelles. La jeune infirmière inserra sa clé dans la serrure de la porte et ouvrit cette dernière. Elle referma vivement la porte derrière elle, il ne fallait pas qu'on la voit au risque de se faire arrêter.

La jeune femme souffla, elle était enfin chez elle, dans son petit appartement.

- Enfin de retour à la maison.

- Oh tu es là, fit une voix familière qu'elle reconnaîtrait entre mille.

- Toi ! Maugréa Mai. Je peux savoir pourquoi t'es chez moi Kurono ?! Et surtout comment t'es entré ?!

L'homme de 29 ans sortit une clé, c'était sa clé de secours et celle qu'elle cachait sous son tapis de paillasson.

- Apprend à mieux cacher tes affaires sinon des voleurs te la voleraient.

C'est plutôt toi que tu es entrain de définir, Kurono.

- Et sinon pourquoi t'es chez moi ? Demanda l'infirmière.

- Je m'ennuyais, siffla Kurono. Ça faisait bizarre de ne plus te voir et ça me manquait un peu nos petites disputes.

Nos disputes te manquaient, hein ?

- Et à chaque fois qu'on se disputait cela finissait en une partie de jambes en l'air au bureau, termina Mai, embarrassée. Enfin dans l'infirmerie.

Elle ne savait plus quoi penser.

Il se versa une tasse de café. Il aimait le café amer.

Il est entrain de faire comme s'il était chez lui.

- T'en veux un ? Proposa le Shinigami.

- Oui. Et met deux morceaux de sucre, s'il te plaît.

J'ai besoin d'une douche rapide.

Mai partit dans sa salle de bain. Et se doucha et se sécha les cheveux rapidement. Puis elle retourna dans son salon, là où attendait une tasse de café bien fumante. La jeune femme aimait l'arôme de la caféine, cela la mettait de très bonne humeur.

La jeune femme s'assit sur son canapé.

- Alors du nouveau pour Haijima Industries ? Le patron a demandé de mes nouvelles ? Demanda la femme aux yeux rouges.

- Le patron s'inquiète pour toi et Tsukiko. Il espère que vous n'êtes pas entrain de faire de bêtises pendant vos "vacances". Il essaye de parler avec quelqu'un pour régler ton petit problème.

J'suis recherché alors que j'ai rien fait de mal. Y'en a qui font mal leur boulot dans ce faux pays. Je suis maintenant obligé de rester cloîtrée dans mon appartement.