Souvenir douloureux

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Les jours passent mais,                              Les souvenirs restent.

    Julian

Je suis paralysé impossible de bouger je veux hurler mais je n'y arrive pas je l'entends me crier de partir mais je suis là à la regarder.

- Julian part... Elle me supplie mais je ne peux pas je suis paralysé.

Je vois ses vêtements se faire arracher, j'attends ses pleurs le suppliant d'arrêter.

- Je vais te baiser, que tu le veuilles ou non.

Je veux lui dire d'arrêter, je veux qu'il arrête.

- Papa ! Arrête tu fais mal à maman

- Fils, je fais ça par amour, toute femme doit satisfaire les besoins de son mari.

Il continue, il la pénètre malgré ses hurlements il la baise comme il la dit.
elle le supplie d'arrêter.

Je me réveille le cœur battant en sueur, ma respiration est saccadé je n'arrive pas à la calmer je me mets à compter jusqu'à dix dans ma tête peu à peu elle se calme.
Tout va bien Julian..

Je prends mon téléphone et l'allume l'appareil affiche 7 :00.
Je me lève pour aller sous la douche, j'ai besoin d'une douche froide.

Je vois mon reflet dans le miroir mais je ne vois pas l'homme de 25 ans je vois le celui que j'étais avant pourtant je ne suis plus lui physiquement du moins.
Mes cheveux sont noir en bataille, quelques mèche me tombe sur le front  mon corps est sculpté je ne suis pas massif mais j'ai du muscle. Mes avants bras son recouvert d'un tatouage.
un serpent, il avait peur des serpents.

Je sors de ma contemplation pour aller m'habiller, un costume noir classique ferra largement l'affaire.
Il est maintenant 7 :30 je me dépêche de prendre un café et sort de mon appartement et me dirige vers mon Audi R8 Spyder et pars pour aller au lycée ou je donne cours.

Je me gare dans le parking réservé aux professeurs et personnel. Je me dirige vers la salle des profs.

     -   Ah Julian ! Non pas elle

    -  Leila. Je la salue brièvement, sa main viens se poser sur mon épaule je me crispe.

     -  Un problème ? lui demandais-je

     -  Tu es libre se soir ? me demande-t-elle d'une voix mielleuse.

    -   Leila, laisse tomber. Oui bon d'accord je ne dis jamais non pour un coup d'un soir mais à partir de 40 ans ça devient trop vieux.

    -  Tu n'as personne ! Alors pourquoi ? s'exclame t'elle offusqué de mon refus.

    -  Parce que tu n'es pas mon style ! arrête de forcer.

Résigner, elle s'éloigne rapidement frustrer de ma réponse. A vrai dire je n'ai pas vraiment la tête a ça depuis ce matin, des cauchemars j'en ai déjà fait mais celui là ne ressembler a aucun autre. Aujourd'hui est une date importante pour moi a vrai dire c'est la seule qui compte vraiment, même mon anniversaire n'est pas si important.

4h plus tard cafétéria

Je bosse sur mes prochaines cours de la journée tout en mangeant une salade césar. Mes collègues se racontent les derniers potins c'est-à-dire, couple entre élèves etc... rien de bien passionnant

   -   Non mais cette gamine ne mérite pas sa place ici !

    -  Qui la petite Hasting ? demande Petter un de mes seules collègue que j'apprécie

   -   Oui ! s'exclame-t-elle. Cette petite peste qui se crois mieux que tout le monde.

   -    Je pense que tu as une dent contre elle. Ricane Petter

Je fini par m'intéresser un peu plus a la conversation. Bien qu'elle soit très peu intéressante.

   -    Je ne vois pas pourquoi j'aurais une dent contre elle ! c'est toute a fait ridicule.

   -    A toi de me dire. Dit-t-il en haussant les épaules.

Je fini par quitter la cafétéria pour me diriger vers ma salle. J'en est eu marre d'entendre des discussions d'adolescent !

Mon esprit vagabonde, je pense à tout et rien. Mon envie de fumer monte en flèche, je fonce sur le toit pour fumer. Je m'adosse au mur qui donne une vue sur la ville, je dois bien admettre que cette vue n'est pas déplaisante bien au contraire elle est plutôt agréable à regarder. Je n'aurais jamais pensé en arriver la un jour même si Eden ma toujours dit que je m'en sortirais, a l'époque je lui ai ris au nez mais aujourd'hui je me rends compte qu'il a était plus futé que moi, à l'époque il a vu ce que je n'ai pas vu.

La sonnerie retentie, ce qui veux dire que je vais devoir aller supporter des gamins hormonés qui ne pense cas leur plan cul de la vielle. Bien que ça n'a pas vraiment changer même en grandissant, c'est triste mais c'est comme ça je me demande si un jour ça va changer ma sœur grandie dans un monde ou les femmes sont des objets sexuels et bordel ça me rend fou. Certes j'aime qu'une femme sois soumise seulement au lit et quand elle le veut aussi ! Je ne suis pas ce genre de sal type qui veulent une femme soumise tout le temps, j'aime quand elles ont du caractère. Ça pimente la relation...

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Hello tout le monde j'espère que ce premier chapitre vous aura plus n'hésitez pas me le faire savoir dans les commentaires !

Kiss 🐍

Sauves moi si tu peuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant