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*Ce chapitre n'est pas un poème mais un court texte*

La gare

Cette gare, bruyante, odorante, voyait tant de baisers, tant de baisers sincère que les mariage n'en auront jamais vu.
Cette gare a vu des pleurs plus triste que les enterrements n'en verront jamais.
Dans cette gare, les adieux sont déchirants, ils brûlent la gorge de ceux qui les prononcent, ils leurs tordent l'estomac, ils leurs serrent le cœur, ils font battre le sang dans les veines des voyageurs. Ils leurs soumettent tout un tas de désagréables sentiments, c'est le châtiments ultime.
Un "adieux", un "au-revoir", ils sont horribles, ceux qui disent au revoir n'y sont pas préparé, ils sont dans un total déni, c'est un adieux masqué.
Mais ceux qui disent adieux, ils s'y sont préparé, ils y ont pensé, encore et encore, c'est ce qui occupait leurs pensées, leurs nuits depuis bien  des jours. Mais il l'ont accepté, ils ne sont pas    pessimistes, juste réalistes.

04/02/2023

Recueil de poèmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant