On passe son temps à vouloir être parfait, à vouloir paraître gentille, bon pour être aimer, alors qu'au fond de nous un trou noir et sombre absorbe les bons moments. Ces bons moments qui autrefois nous faisais ressentir la joie, le bonheur. Les mauvais, eux, restent en surface et nous suivent partout peu importe l'endroit, le moment, ils nous suivent comme notre ombre. Cette partie de nous qui souffre en silence sans pouvoir parfois y mettre un nom dessus. Elle grandit en nous comme un verre qui est prêt à déborder, malgré tout le surplus. Profonde solitude non volontaire, on se retrouve seule confrontée à des émotions incontrôlables. On essaye de se dire qu'il y a pire, mais comment parler du pire des autres, quand le notre nous empêche de profiter de ce que l'on est sensé apprécier ? "oui mais untel à une maladie, untel à perdu un proche..." La culpabilité nous rongent. Les gens ne comprennent pas ou se voilent la face. Ou peut-être cherchent-ils à nous aider ? La culpabilité nous rongent. Elle grignote chaque parties de notre âme, jusqu'à ce que celle-ci, pense qu'il n'y a pas d'issues. L'endurance est-elle la clé ? Est-ce que tout le monde se contente de faire semblant ? De survivre ? Si c'est cela vivre, alors vivre est nul. Oui nul. Et cessons de nous bourrer la tête avec cette idée que vivre c'est joyeux. Elle l'ai peut-être lorsque l'âme s'est envolée très loin de nous. Lorsqu'elle cesse de cogiter.