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Les mots étaient là,
aiguisés, attendant le bon moment pour m'attaquer.
Ils était brutales, et me brûlaient.
Même les coups physiques me faisait moins mal.
Leurs mots coupait plus profondément ma chair qu'un couteau.
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Alors, ce n'est pas grave si je les imitais,
si je m'effleurais un peu moi même.
Ça serait ma manière d'être douce,
comme une simple caresse.

Poèmes (mini )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant