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J'y crois pas je me suis fait avoir c'est pas vrai, je recharge de nouveau le flingue et je tire, après ce qui c'est passé à la réunion aujourd'hui à cause d'elle je me suis fait avoir, je tire encore sur un autre type

Sanzu : doucement koko oublie pas qu'on à besoin d'info

Moi : la ferme, ta gueule

Rindo: j'arrive toujours pas y croire, elle t'a vraiment eu

Je pointe mon arme sur lui, il me toise du regard, je laisse tomber le flingue, j'y crois pas 5 milliards de ¥ , comment à quelle moment, Aïko Mado je vais te faire la peau, la porte du hangar s'ouvrit sur ran et un type

Ran : celui là il est bien cui

Type : s'ils vous plaît me tuer pas

Ran : il sait la où elle se planque

Je prends un autre flingue et je m'approche du type je m'accroupis à son niveau et lui pose le flingue sur la tempe

Moi : tu as 10 second où est Aïko Mado

Type : j'ai eu juste quelques petits Contact avec elle, elle se planque dans le Kansai , j'en sais pas plus

Je lui tire avant qu'il ne recommence à parler je sort , je suis sur les nerfs, je me suis fait avoir par une paire de nichons sur pattes je prends mon téléphone et appel quelques mecs, Aïko Mado, tu vas me rembourser ont s'enfuit pas avec l'argent de hajime kokonoi une caisse viens se garer devant moi la porte s'ouvre c'est Mickey

Mickey : alors ?

Moi : j'ai une piste

Mickey : je vois, j'accepterai pas un autre faux pas koko

Et il s'en va, cette pouffiasse va me le payer

KANSAI

Yuma dort enfin il est si mignon je lui fais un bisou sur le front et je descends, j'ai du travail je dois terminer le dressage du gâteau à la maison avant le mariage d'une cliente demain matin , j'allais me mettre au fourneau lorsque on klaxonne à la porte bizarre à cet heure ci je vais ouvrir j'ouvre grands mes yeux elle est la juste devant moi avec son inséparables valise

Aïko : salut

Ma sœur jumelle, je l'a prend dans mes bras sa fait tellement longtemps je la fais entré je suis tellement contente et à la fois tellement effrayé pourquoi, maintenant Aïko j'espère que tu ne t'ai pas mise dans la merde

Aïko : tu pourrais m'héberger pour quelques temps juste le temps de trouver un appartement

Moi : tu peux rester ici tout le temps que tu veux, mais pourquoi tu es soudainement réapparue

Aïko : je vais te raconter sa une prochaine fois

Je soupire, me rappellant cette nuit là depuis sa fait déjà 3 jours que Aïko dort chez moi, je n'arrête pas d'y penser Aïko me cache quelques choses

Serveuses : mademoiselle Mado j'ai terminé. Bonne nuit à vous

Moi : merci à toi aussi je vais vérifier une dernière fois l'arrière boutique et la terrasse en pleine air tout est ok, je m'apprête à fermer mon café pâtisserie lorsque un monsieur rentre

Moi : excusez moi monsieur mais c'est fermé revenez demain matin

Lui : arrête de jouer honey tu sais que c'est moi

Moi : désolé mais

Je sens ma tête devenu lourde je tombe au sol et je m'evanoui

Je me réveille je sens que je suis attaché à une chaise j'ai les yeux bandés

LE BONTENOù les histoires vivent. Découvrez maintenant