Chapitre 4

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Pov reader


Le noir total, je réouvre mes yeux je suis encore là. À la même place le même décor et la même odeur.

Alors je ne suis point morte ?

Je nose pas bouger. Je déglutie, jumidifie mes lèvres.

Jusque-là tout va bien.

J'essaye de ressentir le poids de mon corps sur le matelas. Je contracte chacun de mes membres. A commencé avec mes fesses, mon dos qui était en contact direct avec le truc qui me servait de lit.

Je tente de bouger mes doigts et mes orteils. J'y arrive sans grande difficulté.

Je ravale un peu de salive et je me risque de tourner à nouveau la tête. Cette fois rien ne se produit, aucun grésillement, aucun mal de crâne, rien.

Quand j'étais au primaire, nous avions eu un petit exposé sur comment réagir face à des situations comme celles-ci.

Pourquoi je m'en rappelle ? Aucune idée.

Mais de toute façon qui aurait cru que sa m'arriverait ?

Ce que je me rappelle de cette petite présentation était qu'il faut garder son sang froid. Puis qu'il faut que tu observe les lieux pour que si tu réussit à t'échapper tu puisse donner un maximum d'informations au flics.

Je me suis toujours dit que sa ne pouvait ce passer que dans les films bidon ou les livres. Jamais je n'aurai cru à cette possibilité enfin jusqu'à aujourd'hui.

Une petite voix dans ma tête me suppliant de faire ce que je peux me rappeler de la présentation. Mais une autre me disait que ce n'était que le fruit de mon imagination et que j'avais sûrement trop lue de fanfiction xyandere avant de me coucher.

J'écoute la première petite voix et je me mi à observer les lieux.

Tout ce que je vis était une salle blanche avec une petite table de chevet en bois de pins avec sur le dessus de celle-ci un petite lampe qui produisait une faible lumière. Je pouvait distinguer quelques choses au fond de la pièce. Trop grand pour être un objet mais trop petit pour être un mur.

Un sentiment enfle en moi,grandit ,devient énorme et menace d'éclater,quelques choses de sauvage voir incontrôlable. Une seule émotion peut avoir toutes ses caractéristiques : La panique.

Qui est dans la pièce avec moi? Où suis-je ?

Qui.
Ma potrine se soulève rapidement ...
Est.
Comme si la mécanique de mes poumons déraillait ...
Dans.
Semblable au rythme de mon cœur...
La.
Qui cogne,qui cogne...
Pièce.
A en faire mal.

Hier soir, je me rappelle très bien. J'étais dans ma demeure.

Je me suis endormie dans mon lit,dans ma chambre. Je me souviens que je fixait mon plafond avant de sombré dans les bras de Morphée.(je suis désolé si il y a des fautes au niveau du prénom de ce dieux du sommeil, aussi étuliser en tant qu'expression )

Comme chaque jours dans ma boucle sans fin.

Je me rappelle m'avoir blotti dans mes draps qui peut à peu me rechauffait. A mes côtés dormais encore ma peluches vestige d'une enfance que je n'ai pas pu me résoudre de mettre de côté.

J'ai dormi ce soir là. Un sommeil profond, rien n'aurait pu me réveiller.

Mais quand j'essaye de me rappeler comment je suis arrivé ici,dans un lit qui n'est pas mien dans des draps qui me son inconnu et que vais-je dire de la pièce. Je ne m'en souviens plus. Rien,rien,RIEN !

Je ne comprends pas, pourquoi ne suis-je pas capable de me souvenir !

Qu'es ce qui cloche chez moi ?!

Mais ce qui m'apporte le plus de crainte dans tout ceci est le fait qu'il est quelqu'un ou devrais-je dire quelque chose tapis dans l'ombre qui me surveille.

Il doit savoir aperçu que je l'avais remarqué. Et je crois qu'il peut ressentir la peur que celui-ci me procure car cette chose,ce met à avancé dans ma direction.

Le claquement de c'est bottes retentisait sur le plancher froid. Puis il stoppa tout ses mouvements avant que je n'ai pu voir son visage.

Je sentais son regard, il me regardais de haut en bas.

J'ai tellement peur, tellement peur de cette chose qui n'est celons moi pas ici pour bavarder.

Mon cœur bat ci fort que je crain que la celui ci l'entendre.

Par reflex, je me leva du lit et j'essaye de prendre la lampe sur la commode pour en cas de soucis ou avenant que je dois me battre, j'aurais de quoi me défendre.

Mais quand je m'apprêtais à soulever celle-ci, je vis que elle était visser a la table de chevet.

Ce monstre avait sûrement prévu le coup.

En voyant mes tentatives raté pour espérer trouver quelque chose à ma disposition, la chose ce mi à rire.

???:- Je croyais que tu étais plus intelligente que ça...toi qui est normalement très débrouillarde.

Sa voix, c'est celle d'un homme !

Je veux en savoir plus !

Mais en même temps sa m'effraie.

No escape / Hoodie xreader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant