𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝟒𝟖

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As salam waleycom les filles

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𝑷𝒓𝒆́𝒄𝒆́𝒅𝒆𝒎𝒎𝒆𝒏𝒕 :

Mes larmes commençaient à me monter

Fares : Wsh Noor sv ? Pourquoi tu pleures

Moi : ...

Je lui avais même pas répondu j'étais choqué de ce que je venais de voir

J'avais remarquer que le ventre de Niham était arrondie

Je pense que j'ai compris et que vous aussi

Niham était enceinte de Souleymane


Niham était enceinte de Souleymane

Moi : Ya الله non ne me dit pas qu'il a fait sa

dit-je d'une voix tremblante

Moi : Tout sauf sa ...

Sur le moment Souleyman ce décider d'enfin relever sa tete de son telephone des qu'il me vit il avait tout de suite les gros yeux

Il regarda moi puis Fares je voyais dans son regard de la haine

Fares : Noor c'est qui lui pourquoi il nous regarde comme sa

Je lui avais meme pas répondu miskine je me contentais de fixer Souleymane

Celui ci se décida d'avancer vers nous

Moi : Fares on y va

Fares : Et t'es achats

Moi : Je m'en fou de sa on y va

Il exécute donc à mon ordre et on sors donc de Zara moi j'essayais comme je pouvais de ne pas pleurer mais c'était impossible ce que je venais de voir m'avait totalement brisé

J'ai donc craquer et j'ai fondus en larmes dans les bras de Fares

Fares : Chut Noor calme toi pourquoi tu pleures

Moi : ...

Fares : Tu l'es connais ?

Moi : Non

Fares : Pourquoi tu pleures alors

Moi : Je sais pas a chaque que je vois une femme enceinte je pleure

Il plissa ses yeux pour voir si je ne mentais mais je pense qu'il l'avait compris

Fares : Tu me prends pour un con

Moi : Je t'ai dit que je ne l'ai connaissais pas

Fares : Ouais sa doit être sa bref va dans la voiture j'arrive

J'exécute donc son ordre puis je pars l'attendre dans la voiture

Il revient quelques minutes après avec un paquet de snikers

Fares : Tient vu que tu aimes sa je t'en ai acheter

Moi : Mercii

Il se contente de me sourire , il démarra la voiture puis prend le chemin en direction de ma cité

J'étais sur le point de descendre quand celui-ci attrapa mon poignet

Moi : Quoi ?

Fares : Demain je viens te chercher à 9h je dois t'emmener quelque part

Chronique de Noor : 𝑲𝒐𝒖𝒍𝒄𝒉𝒊 𝒃𝒆𝒍 𝒎𝒆𝒌𝒕𝒐𝒖𝒃 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant